 | D. Saucié - 1851 - 486 pàgines
..., qu'on a pris si longtemps et chez tant de peuples pour de la poésie et de l'éloquence ' . » « Un des premiers qui étala dans la chaire une raison toujours éloquente, dit Voltaire, fut le P. Bourdaloue, vers l'an 1668; ce fut une lumière nouvelle. » Il ne faut pas... | |
 | Voltaire - 1852 - 694 pàgines
...langage. L'évêque de Luçon, fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé à M. deMeauxquel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les siens, Byssuet lui répondit : « Les Lettres provinciales. » Elles ont beaucoup perdu de leur piquant, lorsque... | |
 | Adrien Delondre - 1855 - 488 pàgines
...significatif de Bossuet sur les Provinciales : « L'évêque de Luçon , fils du célèbre Bussi , m'a dit qu'ayant demandé à M. de Meaux quel ouvrage...Bossuet lui répondit : les Lettres Provinciales. » (2) Cette réponse n'a rien que de vraisemblable , si l'on songe que Bossuet acheva devant les assemblées... | |
 | Adrien Delondre - 1855 - 474 pàgines
...mot significatif de Bossuet sur les Provinciales : « L'évêque de Luçon, fils du célèbre Bussi , m'a dit qu'ayant demandé à M. de Meaux quel ouvrage...il eût mieux aimé avoir fait , s'il n'avait pas faitles siens , Bossuet lui répondit : les Lettres Provinciales. » (2) Cette réponse n'a rien que... | |
 | Voltaire - 1856 - 322 pàgines
...L'évêque de Luçon, fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé a M. de Meaux quel ouvrage H eût mieux aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les siens, Bossuet lui répondit : Les Lettres provinciates. Elles ont beaucoup perdu de leur piquant lorsque les jésuites out été abolis, et les... | |
 | Voltaire - 1860 - 540 pàgines
...vivantes. Il faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage. L'évêque de Lucon, fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé...Bossuet lui répondit : Les Lettres provinciales. Elles ont beaucoup perdu de leur piquant lorsque les jésuites ont été abolis, et les objets de leurs... | |
 | Voltaire - 1860 - 548 pàgines
...vivantes. Il faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage. L'évëque de Lucon, fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé...Bossuet lui répondit : Les lettres provinciales. Elles ont beaucoup perdu de leur piquant lorsque les jésuites ont été abolis, et les objets de leurs... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - 1860 - 656 pàgines
...souvent cité celle anecdote racontée par Voltaire : « L'Evêque de Luçon, fils du célèbre Bussi ', m'a dit qu'ayant demandé à M. de Meaux quel ouvrage...Bossuet lui répondit : Les Lettres Provinciales. » Voilà ce qu'on peut appeler des couronnes. Tous les grands écrivains survenants ont à leur tour... | |
 | Victor Duruy - 1862 - 752 pàgines
...vivantes. Il faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage. L'évêque de Luçon, fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé...la chaire une raison toujours éloquente, fut le P. Bourdaloue(1632-1704), vers Fan 1668. Ce fut une lumière nouvelle. Il ya eu après lui d'autres orateurs... | |
 | Victor Duruy - 1863 - 620 pàgines
...vivantes. Il faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage. L'évêque de Luçon, fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé à M. de Meaux quel ouvrage il eût mieux aimé avair fait, s'il n'avait pas fait les siens, Bossuet lui répondit : Les Lettres provinciales. t Un... | |
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L'évêque de Luçon, fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé à M. de Meaux quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les siens, Bossuet lui répondit : 
