| Voltaire - 1785 - 432 pàgines
...du langage. L'évêque de Luçon , fils du célèbre BuJJy , m'a dit qu'ayant demandé à monfieur de Meaux quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait , s'il n'avait pas fait les Cens , Boffuet lui répondit : Les lettres provinciales. Elles ont beaucoup perdu de leur piquant,... | |
| Voltaire - 1785 - 432 pàgines
...du langage. L'évêque de Luçon , fils du célèbre BuJJy , m'a dit qu'ayant demandé à monfieur de Meaux quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait , s'il n'avait pas fait les fiens , Boffuet lui répondit : Les lettres provinciales. Elles ont beaucoup perdu de leur piquant,... | |
| Voltaire - 1791 - 366 pàgines
...langage. L'évêque de Lucon fils du célèbre Bujjy m'a dit qu'ayant demandé à monfieur de Memix quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les fiens , Boffiiet lui répondit: Les lettres provinciales. Elles ont beauoup perdu de leur piquant ,... | |
| Voltaire - 1792 - 546 pàgines
...fixation du langage. L'évcque de Luçon, fils du célèbre Bufly , m'a dit qu'ayant demandé à moniteur de Meaux, quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait , s'il n'avait pas. fait les fiens , BolTuet lui répondit : Les Lettres provinciales. Elles ont beaucoup perdu de leur piquant,... | |
| Voltaire - 1810 - 480 pàgines
...qui depuis long-temps était celui de presque tous les écrivains , des prédicateurs et des avocats. Un des premiers qui étala dans la chaire une raison toujours éloquente, fut le père Bourdaloue, vers l'an 1668. Ce fut une lumière nouvelle. Il ya eu après lui d'autres orateurs... | |
| Voltaire - 1817 - 496 pàgines
...vivantes- II faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage. L'évèqne de Lucon, fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé...aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les siens, Rossuet lui répondit : « Les Lettres provinciales ». Elles ont beaucoup perdu de leur piquant ,... | |
| Voltaire - 1817 - 230 pàgines
...à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage. L'évêque de Luçon, fils du célebre Jtussy, m'a dit qu'ayant demandé à M. de Meaux quel ouvrage...aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les siens, liossuet lui répondit : « Les Lettres provinciales ». Elles ont beaucoup perdu de leur piquant ,... | |
| Christian Ludwig Ideler - 1818 - 636 pàgines
...L'évèque de Luçon, fils du célèbre Bussi **), m'a dit, qu'ayant demandé à Monsieur deMeaux, quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait , s'il...siens, Bossuet lui répondit: les Lettres provinciales. Elles ont beaucoup perdu de leur piquant, lorsque les Jésuites ont été abolis et les objets de leurs... | |
| Voltaire - 1820 - 538 pàgines
...fixation du langage. L'évèque di; Lucon, fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé à monsieur de Meaux quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait,...Bossuet lui répondit: « Les Lettres provinciales. » Elles ont beaucoup perdu de leur piquant lorsque les jésuites ont été abolis, et les objets de... | |
| Voltaire - 1829 - 614 pàgines
...qui depuis long-temps était celui de presque tous les écrivains , des prédicateurs et des avocats. Un des premiers qui étala dans La chaire une raison toujours éloquente , fut le père Bourtîaloue, vers l'an 1668. Ce fut «ne lumière nouvelle. Il ya eu après lui d'autres orateurs... | |
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