| Thomas Frederick Crane, Samuel Jacques Brun - 1884 - 340 pàgines
...fois par jour, le matin et le soir ; ce messager de nos douleurs me devient aussi cher que l'aurait été autrefois le messager de nos plaisirs. J'ai...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait ; il m'a demandé mon nom, je le lui ai dit : ô mon dieu ! s'est-il écrié, à ce nom,... | |
| Thomas Frederick Crane - 1884 - 340 pàgines
...fois par jour, le matin et le soir ; ce messager de nos douleurs me devient aussi cher que l'aurait été autrefois le messager de nos plaisirs. J'ai...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait ; il m'a demandé mon nom, je le lui ai dit : ô mon dieu ! s'est-il écrié, à ce nom,... | |
| Thomas Frederick Crane, Samuel Jacques Brun - 1884 - 336 pàgines
...fois par jour, le matin et le soir ; ce messager de nos douleurs me devient aussi cher que l'aurait été autrefois le messager de nos plaisirs. J'ai découvert une fente dans mon apparlement, j'ai appliqué mon oreille, j'ai entendu gémir, j'ai hasardé quelques paroles, j'ai... | |
| Camille Desmoulins - 1896 - 552 pàgines
...le soir. Ce messager de mes douleurs me devient aussi cher que l'aurait été autrefois celui de mes plaisirs. J'ai découvert une fente dans mon appartement;...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait. Il m'a demandé mon nom, je le lui ai dit. « O mon Dieu ! » s'est-il écrié à ce nom... | |
| Edmond Pilon - 1904 - 276 pàgines
...sa présence à travers le mur du cachot, écrit à Lucile, du fond de sa prison du Luxembourg : « J'ai découvert une fente dans mon appartement, j'ai...quelques paroles ; j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait. » Il m'a demandé mon nom ; je le lui ai dit. « O mon Dieu ! » s'est-il écrié à ce... | |
| Hector Fleischmann - 1908 - 204 pàgines
...par jour, le matin et le soir. Ce messager de nos douleurs me devient aussi cher que l'aurait été le messager de nos plaisirs. J'ai découvert une fente...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait. Il m'a demandé mon nom, je le lui ai dit : « O mon Dieu ! » s'est-il écrié à ce nom,... | |
| Marcel Braunschvig - 1926 - 864 pàgines
...en criant dans mon tombeau : Lucile ! Lucile! ô ma chère Lucile!... J'ai découvert une fente à mon appartement; j'ai appliqué mon oreille, j'ai...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait; il m'a demandé mon nom. Je le lui ai dit : « 0 mon Dieu ! s'est-il écrié en retombant... | |
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