| Alphonse de Lamartine - 1847 - 622 pàgines
...Ce messager de mes douleurs me devient aussi cher « que l'aurait été autrefois le messager de mes plaisirs. « J'ai découvert une fente dans mon appartement;...appliqué mon oreille, j'ai entendu gémir; j'ai hasardé u quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui « souffrait. Il m'a demandé mon nom, je... | |
| Nicolas Villiaumé - 1850 - 406 pàgines
...l'aurait été autrefois le messager de nos plaisirs. 1 Nom familier qu'il donnait à sa belle-mère. » J'ai découvert une fente dans mon appartement, j'ai...quelques paroles. J'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait; il m'a demandé mon nom, je le lui ai dit. Oh! mon Dieu! s'est-il écrié à ce nom, en... | |
| Nicolas Villiaumé - 1851 - 382 pàgines
...fois par jour, le matin et le soir. Ce messager de nos douleurs me devient aussi cher que l'aurait été autrefois le messager de nos plaisirs. » J'ai...quelques paroles. J'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait; il m'a demandé mon nom, je le lui ai dit. Oh! mon Dieu! s'est-il écrié à ce nom, en... | |
| Alphonse de Lamartine - 1851 - 1002 pàgines
...mes douleurs me devient aussi cher que l'aurait été autrefois le messager de mes plaisirs. rJ'ai découvert une fente dans mon appartement, j'ai appliqué...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait; il m'u demandé mon nom, je le lui ai dil: — O mon Dieu! s'est-il écrié à ce nom en... | |
| Édouard Fleury - 1851 - 392 pàgines
...soir. Ce messager de nos douleurs » me devient aussi cher que l'aurait été autrefois le mes• sager de nos plaisirs. J'ai découvert une fente dans » mon appartement; j'ai appliqué mon oreille, j'ai en» tendu la voix d'un malade qui souffrait. Il m'a de» mandé mon no.n, je le lui ai dit. « 0 mon... | |
| Jules Michelet - 1855 - 350 pàgines
...par jour, le matin et le soir. Ce messager de nos douleurs me devient au-si cher que me l'aurait élu autrefois le messager de nos plaisirs. J'ai découvert...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait. ll m'a demandé mon nom, je le lui ai dit. « 0 mon Dieu ! » s' estil écrié à ce nom,... | |
| Louis Blanc - 1858 - 468 pàgines
...dans mon tombeau : Lucile ! Lucile ! ô ma chère Lucile ! où es-tu?... (Ici la trace d'une larme.) J'ai découvert une fente dans mon appartement : j'ai appliqué mon oreille, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait. Il m'a demandé mon nom , je le lui ai dit. « 0 mon Dieu! » s'est-il... | |
| Alphonse de Lamartine - 1861 - 512 pàgines
...messager de mes douleurs me devient aussi cher que l'aurait été autrefois le messager de mes • plaisirs. » J'ai découvert une fente dans mon appartement;...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait; il m'a demandé mon nom, je le lui ai dit : « 0 mon » Dieu ! » s'est-il écrié à ce... | |
| Émile Campardon - 1862 - 466 pàgines
...fois par jour, le matin et le soir ; ce messager de nos douleurs me devient aussi cher que l'aurait été autrefois le messager de nos plaisirs. J'ai...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait: il m'a demandé mon nom, je le lui ai dit. « Oh ! mon Dieu ! » s'est-il écrié à ce... | |
| Émile Campardon - 1862 - 544 pàgines
...fois par jour, le malin et le soir; ce messager de nos douleurs me devient aussi cher que l'aurait été autrefois le messager de nos plaisirs. J'ai...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait: il m'a demandé mon nom, je le lui ai dit. « Oh ! mon Dieu ! » s'est-il écrié à ce... | |
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