| Henri Sanson - 1863 - 672 pàgines
...fût resté sur ses habits, sur toute sa personne, quelque chose de ta présence, quelque chose de toi J'ai découvert une fente dans mon appartement, j'ai...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait. Ilm'a demandé mon nom, je le lui ai dit. « 0 mon Dieu ! » s'estol écrié àce nom, en... | |
| H. Sanson - 1863 - 536 pàgines
...fût resté sur ses habits, sur toute sa personne, quelque chose de ta présence, quelque chose de toi J'ai découvert une fente dans mon appartement, j'ai...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade quisouffrait. Ilm'a demandé mon nom, je le lui ai dit. « 0 mon Dieu I » s'est-il écrié ace nom,... | |
| H. Sanson - 1863 - 550 pàgines
...quelque chose de ta présence, quelque chose de toi J'ai découvert une fente dans mon appartement, j 'ai appliqué mon oreille, j'ai entendu gémir, j'ai hasardé...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait, llm'a demandé mon nom, je le lui ai dit. « 0 mon Dieu ! » s'est-il écrié à ce nom,... | |
| Eugène Crépet - 1865 - 626 pàgines
...son absence, le lendemain, a été le premier avis de ma condamnation.) J'ai découvert une fente à mon appartement ; j'ai appliqué mon oreille, j'ai...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffroit;il m'a demandé mon nom. Je le lui ai dit. « O mon Dieu! s'est-il écrié en retombant sur... | |
| Émile Campardon - 1866 - 584 pàgines
...fois par jour, le mutin et le soir ; ce messager de nos douleurs me devient aussi cher que l'aurait été autrefois le messager de nos plaisirs. J'ai...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait : il m'a demandé mon nom, je le lui ai dit. « Oh! mon Dieu! » s'est-il ecrié à ce nom... | |
| Camille Desmoulins - 1866 - 200 pàgines
...le soir. Ce messager do mes douleurs me devient aussi cher que l'aurait été autrefois celui de mes plaisirs. J'ai découvert une fente dans mon appartement;...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait. Il m'a demandé mon nom, je le lui ai dit. « O mon Dieu ! » s'est-il écrié à ce nom... | |
| Lucie Simplice Camille B. Desmoulins - 1874 - 432 pàgines
...fois par jour, le matin et le soir. Ce messager de nos douleurs me devient aussi cher que l'aurait été autrefois le messager de nos plaisirs. J'ai...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait. Il m'a demandé mon nom, je le lui aidit : « O mon Dieu ! » s'est-il écrié à ce nom,... | |
| Henri Wallon - 1881 - 808 pàgines
...matin cl le soir. Ce messager de mes douleurs me devient aussi cher que l'aurait été autrefois celui de nos plaisirs. J'ai découvert une fente dans mon...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait. Il m'a demandé mon nom, je le lui ai dit: « 0 mon Dieu! » s'est-il écrié à ce nom,... | |
| Henri Wallon - 1881 - 552 pàgines
...me devient aussi cher que l'aurait été autrefois celui de nos plaisirs. J'ai découvert une feule dans mon appartement; j'ai appliqué mon oreille;...quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait. H m'a demandé mon nom, je le lui ai dit : « 0 mon Dieu! » s'est-il écrié à ce nom,... | |
| Wallon - 1881 - 554 pàgines
...été autrefois celui de nos plaisirs. J'ai découvert une fente dans mon appartement : j'ai applique mon oreille ; j'ai entendu gémir; j'ai hasardé quelques paroles, j'ai entendu la voix d'un malade qui souffrait. Il m'a demandé mon nom, je le lui ai dit : « 0 mon Dieu! » s'est-il écrié à ce nom,... | |
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