SEPT HEURES. — Nous vîmes entrer deux hommes dont les mains ensanglantées étaient armées de sabres ; ils étaient conduits par un guichetier qui portait une torche, et qui leur indiqua le lit de l'infortuné Reding. Histoire du directoire - Pàgina 545per Adolphe Granier de Cassagnac - 1852Visualització completa - Sobre aquest llibre
 | Jean Gabriel Peltier - 1792 - 432 pàgines
...armées de fabres; ils étaient conduits par un B z guichetier guichetier qui portait une torche, & qui leur indiqua le lit de l'infortuné REDING. Dans ce moment affreux, je lui ferrais la main, &je cherchais à le raturer. — Un de ces hommes ( i ) fit un mouvement pour l'enlever;... | |
 | Pierre Jean Baptiste Nougaret - 1797
...mains ensanglantées étoient armées de sabres , ils étoieat conduirs par un " guichetier qui potroit une torche , et qui leur indiqua le lit de l'infortuné Reding. Dans ce moment affreux , je lui setrois la main , et je chercbois à le rassurer. Un de ces hommes fit un mouvement pour l'enlevet,... | |
 | Pierre Anne Louis de Maton de la Varenne - 1806 - 541 pàgines
...des chasseurs du régiment d'infanterie du Roi. « Vers sept heures, dit-il, nous vîntes en^ trer deux hommes dont les mains ensanglantées étaient...torche et qui leur indiqua le lit de l'infortuné Redingf capitaine Suisse , qui, lors de l'affaire du 10 'août > reçût un coup de feu dont il eut... | |
 | François de Jourgniac Saint-Méard - 1823 - 372 pàgines
...père. Le peuple, touché de ce spectacle, demanda sa grâce et l'obtint (i). VERS SEPT HEURES. — Nous vîmes entrer deux hommes , dont les mains ensanglantées...affreux, je lui serrais la main, et je cherchais à (i) « Quelques jours avant le 2 septembre , mademoiselle Ca» zolte, mise à l'Abbaye avec son père,... | |
 | Saint Albin Berville, François Barrière - 1823
...père. Le peuple, touché de ce spectacle, demanda sa grâce et l'obtint (i). VERS SEPT HEURES. — Nous vîmes entrer deux hommes , dont les mains ensanglantées...affreux, je lui serrais la main, et je cherchais à (i) a Quelques jours avant le a septembre , mademoiselle Ca» zotte , mise à l'Abbaye avec son père... | |
 | 1823
...père. Le peuple, touché de ce spectacle, demanda sa grâce et l'obtint (i). VERS SEPT HEURES. — Nous vîmes entrer deux hommes , dont les mains ensanglantées...affreux, je lui serrais la main, et je cherchais à (i) « Quelques jours ayant le 2 septembre , mademoiselle Ca» zotte, mise à l'Abbaye avec son père,... | |
 | Philippe Joseph B. Buchez - 1835
...son père. Le peuple touché de ce spectacle , demanda sa grace et l'obtint. Vers sept heures. — Nous vîmes entrer deux hommes, dont les mains ensanglantées...main et je cherchais à le rassurer. Un de ces hommes (1) fit un mouvement pour l'enlever ; mais ce malheureux l'arrêta eu lui disant d'une voix mourante... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1835
...de son père. Le peuple touché de ce spectacle, demanda sa grace et l'obtint. Vers sept heures. — Nous vîmes entrer deux hommes, dont les mains ensanglantées...affreux je lui serrais la main et je cherchais à le rassurer.Un de ces hommes (1) fit un mouvement pour l'enlever ; mais ce malheureux l'arrêta en lui... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1835
...mains ensanglantées étaient frmées de sabres ; ils étaient conduits par un guichetier qui portail une torche et qui leur indiqua le lit de l'infortuné...affreux je lui serrais la main et je cherchais à le rassurer.Un de ces hommes (1) fit un mouvement pour l'enlever ; mais ce malheureux l'arrêta en lui... | |
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