Nous voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous força de les laisser ouvertes , pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut un coup de sabre sur l'épaule ; un autre fut blessé à la joue; un autre au-dessus du nez.... Mémoires sur les journées de septembre 1792 - Pàgina 77per François de Jourgniac Saint-Méard - 1858 - 313 pàginesVisualització completa - Sobre aquest llibre
| François de Jourgniac Saint-Méard - 1858 - 352 pàgines
...exciter le caractère naturellement irascible d'une populace égarée à laquelle on nous dénonçait comme ses plus cruels ennemis. Cette multitude effrénée...avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut un coup de sabre sur l'épaule ; un autre fut blessé à la joué, un autre au-dessus du nez.... | |
| 1858 - 348 pàgines
...exciter le caractère naturellement irascible d'une populace égarée à laquelle on nous dénonçait comme ses plus cruels ennemis. Cette multitude effrénée...voulûmes fermer les portières de la voiture; on nous força de les laisser ouvertes, pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut... | |
| Adolphe Granier de Cassagnac - 1860 - 562 pàgines
...exciter le caractère naturellement irascible d'une populace égarée , à laquelle on nous dénonçait comme ses plus cruels ennemis. Cette multitude effrénée...par le Pont-Neuf, la rue Dauphine et le carrefour Bucy. le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades recut un coup de sabre sur l'épaule, un autre... | |
| Adolphe Granier de Cassagnac - 1860 - 560 pàgines
...exciter le caractère naturellement irascible d'une populace égarée , à laquelle on nous dénonçait comme ses plus cruels ennemis. Cette multitude effrénée...effrayante, à mesure que nous avancions vers l'Abbaye, parle Pont-Neuf, la rue Dauphine et le carrefour Bucy. le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades... | |
| Adolphe Granier de Cassagnac - 1860 - 548 pàgines
...carrefour Bucy. « Nous voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous força de leslaisser ouvertes, pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut un coup de sabre sur l'épaule, un autre fut blessé à la joue, un autre au-dessus du nez.... | |
| Jean-Nicolas Jager - 1873 - 570 pàgines
...effrayante, à mesure .que nous avancions vers l'Abbaye. Nous voulûmes fermer les portières; on nous força de les laisser ouvertes, pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut un coup de sabre sur l'épaule, un autre fut blessé à la joue, un autre au-dessus du nez.... | |
| G. Lenotre - 1907 - 380 pàgines
...exciter le caractère naturellement irascible d'une populace égarée à laquelle on nous dénonçait comme ses plus cruels ennemis. Cette multitude effrénée...voulûmes fermer les portières de la voiture; on nous força de les laisser ouvertes pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut un... | |
| Albert Garreau - 1936 - 334 pàgines
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| Claude Mauriac - 1961 - 330 pàgines
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