 | Jean-Jacques Rousseau - 1845 - 382 pàgines
...avait loin de l'Ermitage à Eaubonne : je passais par les coteaux d' A ndilly, qui sont charmants. Je rêvais en marchant à celle que j'allais voir,...recevoir, m'embrasait le sang à tel point, que ma tète se troublait; un ^bleuissement m'aveuglait, mes genoux tremblants ne pouvaient me soutenir ;... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1846 - 586 pàgines
...qu'il y avait loin de l'Ermitage à Eaubonne: je passais par les coteaux d'Andilly, qui sont charmants. Je rêvais en marchant à celle que j'allais voir,...recevoir, m'embrasait le sang à tel point, que ma téte se troublait; un éblouissement m'aveuglait, mes genoux tremblants ne pouvaient me soutenir;... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1852 - 816 pàgines
...marchant à celle quej'allois voir, à l'accueil caressant qu'elle me feroit, au baiser qui m'allendoit à mon arrivée. Ce seul baiser, ce baiser funeste, avant même de le recevoir, m'embrasoit le sang à tel point, que ma tète se troubloit ; un éblcuissement m'aveugloit, mes genoux... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1858 - 672 pàgines
...les mouvements ni lus H/>faill.lnro« H» <-noi»- /ino i'nr>.™i«aîo «n«i: raants. Je revais en marchant à celle que j'allais voir, à l'accueil...arrivée. Ce seul baiser, ce baiser funeste, avant môme de le recevoir, m'embraiait le sang à tel point, que ma tête se troublait; un éblouissement... | |
 | Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles Epinay (marquise d') - 1863 - 538 pàgines
...marchant à celle que j'allois voir, à l'accueil caressant qu'elle me ferait, au baiser qui ni'atlendoil à mon arrivée. Ce seul baiser, ce baiser funeste, avant même de le recevoir, m'embrasou le sang i tel point que ma tête se troubloit, mi éblouissement m'aveogloil, mes genuux... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1865 - 410 pàgines
...marchant à celle que j'allois voir, a l'accueil caressant qu'elle me feroit , au baiser qui m'attendoit à mon arrivée. Ce seul baiser, ce baiser funeste, avant même de le recevoir, m'embrasoit le sang à tel point, que ma tète se troubloit, un éblouissemeat m'aveugloit, mes genoux... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1876 - 708 pàgines
...y avait loin de l'Ermitage à Eaubonne : je passais par les coteaux d'Andilly, qui sont charmants. Je rêvais en marchant à celle que j'allais voir,...troublait; un éblouissement m'aveuglait, mes genoux tremblants ne pouvaient me soutenir; j'étais forcé de m'arrêter, de m'asseoir; toute ma machine... | |
 | Friedrich Melchior baron von Grimm - 1881 - 650 pàgines
...Eaubonne [où demeurait alors M°" d'Houdetot). Je passais par les coteaux d'Andilly, qui sont charmants. Je rêvais en marchant à celle que j'allais voir,...caressant qu'elle me ferait, au baiser qui m'attendait» mon arrivée. Ce seul baiser, ce baiser funeste, avant même de le recevoir, m'embrasait le sang à... | |
 | 1890 - 1004 pàgines
...n'était pas jusqu'à l'évanouissement. u.Je rêvais en marchant à celle que j'allais voir, à l'accueil qu'elle me ferait, au baiser qui m'attendait à mon...le sang à tel point que ma tête se troublait, un ôblouissement m'aveuglait, mes genoux tremblans ne pouvaient me soutenir, j'étais forcé de m'arrêter,... | |
 | François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1890 - 972 pàgines
...pas jusqu'à l'évanouissement. « Je rêvais en marchant à celle que j'allais voir, à l'accueil qu'elle me ferait, au baiser qui m'attendait à mon...arrivée. Ce seul baiser, ce baiser funeste, avant môme de le recevoir, m'embrasait le sang à tel point que ma tète se troublait, un éblouissement... | |
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Je rêvais en marchant à celle que j'allais voir, à l'accueil caressant qu'elle me ferait, au baiser qui m'attendait à mon arrivée. Ce seul baiser, ce baiser funeste, avant même de le recevoir, m'embrasait le sang à tel point, que ma tête se troublait;... 
