 | Cléry (M.) - 1847 - 500 pàgines
...déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs vous ont dit la vérité. « Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée...du 10 août me soient attribués. J'avoue que les gages multipliés que j'avais donnés, dans tous les temps, de mon amour pour le peuple, et la manière... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1847 - 428 pàgines
...et que mes défenseurs ne vous ont » dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma con» duite fût examinée publiquement ; mais mon cœur » est...sang » du peuple, et surtout que les malheurs du 1 0 août » me soient attribués. J'avoue que les preuves mul» tipliées que j'avais données dans... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1847 - 448 pàgines
...que mes défenseurs ne vous ont » dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma con» duite fut examinée publiquement; mais mon cœur » est déchiré...sang » du peuple, et surtout que les malheurs du 1 0 août » me soient attribués. J'avoue que les preuves mul» tipliées que j'avais données dans... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1847 - 616 pàgines
...défenseurs ne vous ont dit que « la vérité. Je n'ai jamais craint que ma conduite fût exa« minée publiquement; mais mon cœur est déchiré de « trouver...faire répandre le sang du peuple, et surtout que les mal« heurs du 10 août me soient attribués. J'avoue que les « preuves multipliées que j'avais données... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1848 - 436 pàgines
...publiquement; mais mon » cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusa» tion l'imputation d'avoir voura faire répandre le » sang du peuple, et surtout que...» 10 août me soient attribués. J'avoue que les prcii» ves multipliées que j'avais données dans tous les » temps de mon amour pour le peuple me... | |
 | abbe Antoine Eugene de Genoude - 1848 - 654 pàgines
...déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. « Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée...mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accnsation l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple , et surtout que les malheurs... | |
 | René François Rohrbacher - 1848 - 676 pàgines
...devant l'histoire : songez qu'elle jugera votre jugement, et que le sien sera celui des siècles. » l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et surtout que les malheurs du dix août me soient attribués. J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données, dans tous... | |
 | Nicolas Villiaumé - 1850 - 422 pàgines
...déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. » Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée...» J'avoue que les preuves multipliées que j'avais donné dans tous les temps de mon amour pour le peuple, et la manière dont je m'étais toujours conduit,... | |
 | Claude François Xavier Millot - 1850 - 612 pàgines
...déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée...est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation Vimputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et surtout que les malheurs du 10 août... | |
 | Alphonse Marie L. de Prat de Lamartine - 1850 - 460 pàgines
...déelare que ma conscience ne me reproche rien et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée...publiquement; mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'aete d'aceusation l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et surtout que les... | |
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En vous parlant peutêtre pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. » Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est... 
