| William Ireland Knapp - 1863 - 468 pàgines
...habitants des campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion: qu'ai-je fait, malheureux ? j'ai centriste les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu...; j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples et fidèles, que j'aurais dû plaindre et consoler. C'est ici, où mes regards ne tombent... | |
| A P Le Page - 1864 - 500 pàgines
...campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion. du' ai -je fait, malheureux ! J'ai centristé les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu ; j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples et fidèles que j'aurais dû plaindre et consoler. C'est ici, où mes regards ne tombent... | |
| Anselme Ouradou - 1864 - 448 pàgines
...campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion. Qu'ai-J3 fait? malheureux! j'ai centristè les pauvres , les meilleurs amis de mon Dieu ! j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples et fidèles que j'aurais dû plaindre et consoler. C'est ici où, mes regards ne tombent... | |
| Franc̨ois Marie Pérennès - 1864 - 776 pàgines
...vérités les plus effnyaütes de ma religion. Qu'ai-je fait? malheureui ! j'ai contristé les pauvres, lus meilleurs amis de mon Dieu; j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples et fidèles que j'aurais dû plaindre et consoler. C'esl ici où mes regards ne tombent... | |
| Théodore-Henri Barrau - 1875 - 366 pàgines
...campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion. Qu'ai-je fait, malheureux! j'ai centristé les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu; j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples et fidèles, que j'aurais dû plaindre et consoler. C'est ici où mes regards ne tombent... | |
| Francisco de Tramarria (comp) - 1882 - 408 pàgines
...campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion. Qu'ai-je fait, malheureux! j'ai centristé les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu; j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples et fidèles que j'aurais dû plaindre et consoler. C'est ici, où mes regards ne tombent... | |
| Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - 1899 - 684 pàgines
...campàgnes, les vérités les plus «frayantes de ma religion. . . Qu'ai-vL fait, malheureux ! j'ai centriste les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu...; j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples et fidèles, que j'aurais dû plaindre et consoler I C'est ici, où mes regards ne tombent... | |
| Jean Blaize - 1903 - 350 pàgines
...habitants des campagnes les vérités tes plus effrayantes de ma religion. Qu'ai-je fait, malheureux? J'ai centriste les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu; j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples ft fidèles, que j'aurais dû plaindre et consoler. C'est ici, où mes regards ne tombent... | |
| Louis Désiré Véron - 1836 - 654 pàgines
...campagne les vérités les plus effrayantes de ma religion. Qu'ai-je fait? malheureux! J'ai cotrtristé les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu ! j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples et fidèles, que j'aurais dû plaindre et consoler! C'est ici, Où mes regards ne tombent... | |
| 1841 - 592 pàgines
...de la campagne les vérités les. plus effrayantes de ma religion. Qu'ai-je fait? malheureux ! J'ai centriste les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu! j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples et fidèles, que j'aurais dû plaindre et consoler ! C'est ici, où mes regards ne tombent... | |
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