En vous parlant peut-être pour la dernière fois , je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien , et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. > Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est... Histoire de la révolution française, 1793 - Pàgina 31per Alphonse de Lamartine - 1869 - 104 pàginesVisualització completa - Sobre aquest llibre
| Adolphe Thiers - 1828 - 408 pàgines
...» défenseurs vous ont dit la vérité. » Je n'ai jamais craint que ma conduite fût » examinée publiquement ; mais mon cœur est » déchiré de...sang du peuple, et surtout que les malheurs » du 1o août me soient attribués ! » J'avoue que les preuves multipliées que » j'avais données dans... | |
| Denis Alexandre Martin, Simon Edme Monnel - 1829 - 460 pàgines
...» que les malheurs du ro août me soient attri» bués. J'avoue que les preuves multipliées que P j'avais données dans tous les temps de mon » amour pour le peuple , et la manière dont je » m'étais toujours conduit, me paraissent devoir » me mettre à l'abri... | |
| Jean Gabriel Maurice Rocques de Montgaillard - 1833 - 472 pàgines
...défenseurs ne vous « ont dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma « conduite fût examinée publiquement ; mais mon « cœur est déchiré de...août me « soient attribués. J'avoue que les preuves multi« pliées que j'avais données dans tous les temps de « mon amour pour le peuple, et la manière... | |
| 1836 - 658 pàgines
...paraît encore devant ses sujets ; il parle ainsi : " Je n'ai jamais ciaint que ma conduite fût exposée publiquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver,...d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple." Une majorité de cinq voix fait dresser l'échafaud. ' Hébert, ce fougueux démagogue, ne peut s'empêcher... | |
| Adolphe Thiers - 1834 - 494 pàgines
...« défenseurs vous ont dit la vérité. « Je n'ai jamais craint que ma conduite fût « examinée publiquement; mais mon cœur est « déchiré de trouver...attribués! « J'avoue que les preuves multipliées quej'a« vais données dans tous les temps, de mon « amour pour le peuple , et la manière dont je... | |
| Adolphe Thiers - 1834 - 524 pàgines
...défenseurs » vous ont dit la vérité. » Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée » publiquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver...» répandre le sang du peuple , et surtout que les mal» heurs du 1o août me soient attribués ! » J'avoue que les preuves multipliées que j'avais... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez, Prosper-Charles Roux - 1835 - 978 pàgines
...défenseurs ne vous ont dit que la vérité. i Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver...données dans tous les temps de mon amour pour le peuple, et la manière dont je ui'éials toujours conduit, me paraissaient devoir prouver que je craignais... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1835 - 960 pàgines
...défenseurs ne vous ont dit que la vérité. > Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est déchiré de trouver...que les malheurs du 10 août me soient attribués ! i J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données dans tous les temps de mon amour pour... | |
| Félix Conny de la Fay - 1836 - 510 pàgines
...défenseurs ne vous ont dit que la « vérité. « Je n'ai jamais craint que ma conduite fût « examinée publiquement; mais mon cœur est « déchiré de trouver...dans tous les temps, de mon « amour pour le peuple, et la manière dont je « m'étais toujours conduit , me paraissaient « devoir prouver que je craignais... | |
| Charles Malo - 1836 - 822 pàgines
...encore devant ses sujets ; il parle ainsi : « Je n'ai jamais craint que ma conduite fût exposée publiquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver,...l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple. » Une majorité de cinq voix fait dresser l'échafaud. crire : «Louis mit tant d'onction, de dignité,... | |
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