| Eugène Geruzez - 1891 - 486 pàgines
...la biche timide et légère ! Je me rappelle ces lieux plus sombres où nous passions les moments de la chaleur ; là, tandis que mon père couché sur...doucement appuyée sur un amas de feuilles que j'avais préparc, se livraient au sommeil de l' après-dîner , je contemplais la majesté bliës en 1841 par... | |
| Augustus John Cuthbert Hare - 1889 - 363 pàgines
...biche timide et légère ! Je n1e rappelle ces lieux plus sombres où nous passions les moments de la chaleur : là, tandis que mon père, couché sur...j'adorais la Providence dont je sentais les bienfaits.' — ' Mémoires.' ' Montgaillard, iv. 290. a See Carlyle's French Revolution, iii. 7. ' Pourquoi pas... | |
| Léo Claretie - 1907 - 678 pàgines
...la biche timide et légère. Je me rappelle ces lieux plus sombres où nous passions les moments de la chaleur; là, tandis que mon père couché sur...existaient pour mon cœur dans tes asiles champêtres ! » Quand deux jours de fête se suivent, on ne rentre pas à Paris, on couche à l'auberge de la... | |
| Jean-Marie Roland De La Platière - 1800 - 450 pàgines
...la biche timide etlégère ! Je merappelleces lieux plus sombres où nous passions les momens dela chaleur ; là , tandis que mon père couché sur l'herbe,...mère doucement appuyée sur un amas de feuilles que j'avois préparé , se livroient au sommeil de l'après-dîner , je contemplois la majesté de tes... | |
| Louis Blanc - 1856 - 454 pàgines
...ces lieux plus sombres où nous passions les moments de la chaleur. Là, tandis que mon père couche sur l'herbe, et ma mère doucement appuyée sur un...que j'avais préparé, se livraient au sommeil de l'après-dincr, je contemplais la majesté des bois silencieux... j'adorais la Providence dont je sentais... | |
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