| Voltaire - 1859 - 664 pàgines
...précèdent toutes nos réflexions. Il en est de même dans la morale. Nous avons tous deux sentiments qui sont le fondement de la société : la commisération et la justice. Qu'un enfant voie déchirer son semblable, il éprouvera des angoisses subites; il les témoignera... | |
| Voltaire - 1859 - 672 pàgines
...précèdent toutes nos réflexions. Il en est de même dans la morale. Nous avons tous deux sentiments qui sont le fondement de la société : la commisération et la justice. Qu'un enfant voie déchirer son semblable , il éprouvera des angoisses subites ; il les témoignera... | |
| Voltaire - 1878 - 588 pàgines
...précèdent toutes nos réflexions. Il en est de même dans la morale. Nous avons tous deux sentiments qui sont le fondement de la société : la commisération et la justice. Qu'un enfant voie déchirer son semblable, il éprouvera des angoisses subites ; il les témoignera... | |
| François Marie Arouet de Voltaire - 1878 - 624 pàgines
...précèdent toutes nos réflexions. Il en est de même dans la morale. Nous avons tous deux sentiments qui sont le fondement de la société: la commisération et la justice. Qu'un enfant voie déchirer son semblable, il éprouvera des angoisses subites; il les témoignera... | |
| 1886 - 982 pàgines
...précèdent toutes nos réflexions. Il en est de même dans la morale. Nous avons tous deux sentiments qui sont le fondement de la société : la commisération et la justice. Qu'un enfant voie déchirer son semblable, il éprouvera des angoises subites, il les témoignera par... | |
| Augusto Bosco, Guido Cavaglieri, Giuseppe Sergi, Sante De Sanctis - 1920 - 504 pàgines
...VOLTAIRE (adoprando, tuttavia, la parola justice invece di probité): « Xous avons tona deux sentiments qui sont le fondement de la société: la commisération et la justice». Essai sur les matura, I, pag. 33 dell'edizione di Parigi, 18211. Vedi anche qui la nota del paragrafo... | |
| Alfredo Niceforo - 1921 - 232 pàgines
...VOLTAIRE (qui employait, toutefois, le mot justice pour probité) : « Nous avons tous deux sentiments qui sont le fondement de la société : la commisération et la justice ». Essai sur les mœurs, 1. 1, p. 33 de l'édit. de 1829, Paris. entendre l'expression la plus élevée... | |
| Voltaire, André Versaille, Emmanuel Le Roy Ladurie - 1994 - 1422 pàgines
...précèdent toutes nos réflexions. Il en est de même dans la morale. Nous avons tous deux sentiments qui sont le fondement de la société : la commisération et la justice. Qu'un enfant voie déchirer son semblable, il éprouvera des angoisses subites ; il les témoignera... | |
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