 | Alcide-Hyacinthe Du Bois de Beauchesne - 1866 - 618 pàgines
...'entendu les paroles de Mercereau , il se contente de lui dire : « Vous voyez comme ces gens-là me traitent ; mais il faut savoir tout souffrir. » Quelques...Hélas! ils me connaissent bien mal! Me tuer serait un crime; j'aurai la force de bien mourir. » maître, à qui cet office fait par le bourreau répugnait,... | |
 | Alcide Beauchesne - 1867 - 648 pàgines
...entendu les paroles de Mercereau , il se contente de lui dire : « Vous voyez comme ces gens-là me traitent ; mais il faut savoir tout souffrir. » Quelques...cabinet et dit en souriant à M. Edgeworth : « Ces geus-là voient partout des poignards et du poison. Us craignent que je ne me tue. Hélas ! ils me... | |
 | Alcide Hyacinthe Du Bois de Beauchesne - 1879 - 620 pàgines
...entendu les paroles de Mercereau , il se contente de lui dire : « Vous voyez comme ces gens-là me traitent; mais il faut savoir tout souffrir. » Quelques...poison. Ils craignent que je ne me tue. Hélas ! ils rne connaissent bien mal ! Me tuer serait un crime ; j'aurai la force de bien mourir. » maître, à... | |
 | Mathurin Lescure - 1879 - 604 pàgines
...courage ! « Ces gens-là voient partout des poignards et du poison, dit-il à ce dernier en souriant; ils craignent que je ne me tue. Hélas! ils me connaissent bien mal ! Me tuer serait une faiblesse. Non, puisqu'il le faut, je saurai mourir. » Enfin, neuf heures sonnèrent à l'horloge du Temple.... | |
 | François Régis de Chantelauze - 1884 - 534 pàgines
...« Ces gens-là voient partout des poignards et du poison, dit en souriant le Roi à son confesseur; ils craignent que je ne me tue. Hélas! ils me connaissent bien mal; me tuer serait une faiblesse : non, puisqu'il le faut, je saurai mourir 3 . » Depuis cinq heures du matin, on entendait, du fond... | |
 | Imbert de Saint-Amand - 1885 - 360 pàgines
...(rentrant dans la tourelle où il retrouve l'abbé). — Ces gens-là voient partout des poignards; ils craignent que je ne me tue. Hélas ! ils me connaissent bien mal. Me tuer serait une faiblesse; non, puisqu'il le faut je saurai mourir. Neuf heures. — Les portes s'ouvrent avec fracas. Santerre,... | |
 | 1892 - 486 pàgines
...commissaires, qui était venu l'interrompre, il rentra dans le cabinet, et me dit en souriant : « Ces gens-là voient partout « des poignards et du...tue. Hélas! ils me connaissent bien mal,: me tuer se« rait une faiblesse. Non, puisqu'il le faut, je saurai bien « mourir. » parla à l'une des sentinelles... | |
 | Pierre de Vaissière - 1910 - 292 pàgines
...Commune crurent toutefois devoir lui refuser cette faveur. « Ces gens-là, se contenta-t-il de dire, voient partout des poignards et du poison ; ils craignent...connaissent bien mal : me tuer serait une faiblesse. Non, puisqu'il le faut, je saurai bien mourir1 ! » Et, si cette dernière demande du Roi eut pour... | |
 | Pierre Lafue - 1942 - 312 pàgines
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Ces gens-là voient partout des poignards et du » poison; ils craignent que je ne me tue. Hélas ! » ils me connaissent bien mal ; me tuer serait une » faiblesse : non, puisqu'il le faut, je saurai 
