| Louise Colet - 1870 - 382 pàgines
...respect cette épée, embrassa les vieux capitaines qui l'entouraient, leur dit un dernier adieu, en les priant de ne point oublier « qu'en quelque pays...d'église, les femmes, les enfants et le pauvre peuple n'élaient point des ennemis. » Et il expira le 18 juillet 1380, âgé de soixante-six ans, en recommandant... | |
| Glastane D d'. Aulnay - 1870 - 234 pàgines
...grâce, leur dit-il, n'oubliez pas ce que je vous ai dit mille fois, qu'en quelque pays que vous fassiez la guerre, les gens d'église, les femmes, les enfants, et le pauvre peuple ne sont pas vos ennemis. Puis il prit dans ses mains l'épée de connétable, et l'ayant considérée... | |
| François Guizot - 1883 - 610 pàgines
...capitaines qui l'entouraient « de ne jamais oublier, en quelque pays qu'ils fissent la guerre, que les gens d'église, les femmes, les enfants et le pauvre peuple n'étaient pas leurs ennemis. » Selon quelques chroniques, je dirais presque quelques légendes contemporaines,... | |
| François Guizot - 1875 - 592 pàgines
...capitaines qui l'entouraient « de ne jamais oublier, en quelque pays qu'ils fissent la guerre, que les gens d'église, les femmes, les enfants et le pauvre peuple n'étaient pas leurs ennemis. » Selon quelques chroniques, je dirais presque quelques légendes contemporaines,... | |
| Alexandre de Couffon de Kerdellech - 1877 - 604 pàgines
...l'avaient suivi pendant quarante ans, il les priait de ne pas oublier ce qu'il leur avait dit mille fois : qu'en quelque pays qu'ils fissent la guerre, les gens...femmes, les enfants et le pauvre peuple n'étaient pas leurs ennemis, et avaient droit à leur protection. Notre impartialité nous oblige cependant à... | |
| François Guizot - 1877 - 628 pàgines
...capitaines qui l'entouraient « de ne jamais oublier, en quelque pays qu'ils fissent la guerre, que les gens d'église, les femmes, les enfants et le pauvre peuple n'étaient pas leurs ennemis. » Selon quelques chroniques, je dirais presque quelques légendes contemporaines,... | |
| Théodore-Henri Barrau - 1878 - 478 pàgines
...n'oubliez pas ce que je vous une garnison unai dit mille foi», qu'en quelque pays que vous fassiez la guerre, les gens d'église, les femmes, les enfants et le pauvre peuple ne sont pas vos ennemis. » Puis il prit dan» ses mains l'épée de connétable, et, l'ayant considérée... | |
| Louis Pierre François Adolphe marquis de Chesnel de la Charbouclais - 1881 - 790 pàgines
...pas de combattre seulement. ALPHONSE LE MAGNANIME, roi d'Aragon. ' En quelque pays que nous fassions la guerre, les gens d'Église, les femmes, les enfants et le pauvre ne sont pas nos ennemis. De GUF.SCU.N. Un général doit être soldat dans l'occasion. TAMËHLAN. Il... | |
| Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique - 1883 - 1022 pàgines
...Bonet composai son livre (1380), el qui, à son heure dernière, engageait ses capitaines à ne poinl oublier < qu'en quelque pays qu'ils fissent la guerre,...d'église, les femmes, les enfants et le pauvre peuple n'étaienl point leurs ennemis. » Confession de poète; par Charles Polvin, membre de l'Académie.... | |
| Lambert Élisabeth d'A comte de Résie - 1885 - 520 pàgines
...l'entouraient, « qu'en » quelque lieu qu'ils fissent la guerre , ils devaient se sou» venir que les gens d'église, les femmes, les enfants et le » pauvre peuple, n'étaient pas les ennemis. » Les clefs de la ville furent remises sur son lombeau ; cependant il respirait encore... | |
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