| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1824 - 458 pàgines
...; il ne faut que les effleurer : il ressemblent a ces terres marécageuses , sur lesquelles on «st obligé de courir légèrement sans y arrêter jamais le pied. DIALOGUE IV. GUILLAUME DE CABESTAN, AXBERT-FRÉD. DE BRANDEBOURGALBERT-FRÉDÉRIC DE BRANDEBOURG. JE vous aime mieux d'avoir été fou... | |
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1825 - 472 pàgines
...eût été assez de mon goût. ELISABETH D'ANGLETERRE. Les plaisirs ne sont point assez solides pour souffrir qu'on les approfondisse ; il ne faut que...GUILLAUME DE CABESTAN , ALBERT-FRÉDÉRIC DE BRANDEBOURG. ALBERT-FRÉDÉRIC DE BRANDEBOURG. Je vous aime mieux d'avoir été fou aussi bien que moi. Apprenez-moi... | |
| Bernard Le Bouyer de Fontenelle - 1829 - 482 pàgines
...de mon goût. ELISABETH D'ANGLETERRE. Les plaisirs ne sont point assez solides pour souffrir «ju'on les approfondisse ; il ne faut que les effleurer :...légèrement, sans y arrêter jamais le pied. DIALOGUE IVGUILLAUME DE CABESfTAN, ALBERT-FRÉDÉRIC DE BRANDEBOURG. / ALBERT-FRÉDÉRIC DE BRANDEBOURG. Je... | |
| François Noel, L.J.M. Carpentier - 1831 - 946 pàgines
...provision de vivres et non de plaisirs , qui devaient être (iris au jour la journée. « Les plaisirs ressemblent à ces terres marécageuses , sur lesquelles...courir légèrement, sans y arrêter jamais le pied. » ronTEÎ.ELLE. Les plaisirs sont 1« fleurs quo notre divin maître Dans les rouées du monde autour... | |
| François-Joseph-Michel Noël - 1859 - 940 pàgines
...provision de vivres et non de plaisirs , qui devaient être pris au jour la journée. « Les plaisirs ressemblent à ces terres marécageuses , sur lesquelles...courir légèrement, sans y arrêter jamais le pied. » rotiTSKÏILB. Le* plaisirt sont les fleurs que notre divin maître Danji les ronces du monde autour... | |
| 1849 - 362 pàgines
...veritable royaute' eut etc assez de mon gout. " Elizabeth. Les plaisirs ne sont point assez solides pour souffrir qu'on les approfondisse ; il ne faut que les effleurer : ils ressemblent a ces terres marecageuses, sur lesquelles on est oblige de courir legerement, sans y arreter jamais... | |
| Louis Pierre F. Adolphe Chesnel de la Charbouclais (marq. de.) - 1853 - 638 pàgines
...plaisirs ne sont pas assez solides pour souffrir qu'on les approfondisse : il ne faut que les emeurer. Ils ressemblent à ces terres marécageuses sur lesquelles...obligé de courir légèrement sans y arrêter jamais le pie.l 53. Le plaisir et la domeur, qui sont ceux sentiments différents, ne diffèrent pas beaucoup... | |
| Louis Racine - 1853 - 454 pàgines
...solides pour soûl * frir qu'on les approfondisse : il ne faut que les effleurer. Ils res" semblent à ces terres marécageuses sur lesquelles on est...obligé de. « courir légèrement, sans y arrêter le pied. » Page 125. Je pense. La pensée , éclatante lumière , Ne peut sortir du sein de l'épaisse... | |
| Adolphe marquis de Chesnel - 1855 - 638 pàgines
...désordrede pensées où l'on ne tombe point sans plaisir. 52. Les plaisirs ne sont pas assez solides pour re, puisqu'il n'ya point d'auteurs dont 53. Le plaisir et la douieur, qui sont oeux sentiments différents, ne diffèrent pas beaucoup dans... | |
| Gustave Sandré - 1867 - 684 pàgines
...qui donnent le vertige, quand on en respire trop longtemps le parfum. ROCHKBHUNE. — Les plaisirs ressemblent à ces terres marécageuses sur lesquelles...courir légèrement sans y arrêter jamais le pied, FQNTENKLLB. — Il faut être sobre de ce qu'on nomme plaisirs; ils écartent trop du boubeor. M"°... | |
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