 | Adolphe Thiers - 1824 - 448 pàgines
...les renouvellerai point; en vous parlant » peut-être pour la dernière fois , je vous dé* clare que ma conscience ne me reproche » rien , et que...mon cœur » est déchiré de trouver dans l'acte d'accusa» tion l'imputation d'avoir voulu faire répandre » le sang du peuple, et surtout que les... | |
 | Félix Jean Louis Éléonor vicomte de Conny de la Fay - 1824 - 534 pàgines
...vous déclare que » ma conscience ne me reproche rien, et que » mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. » Je n'ai jamais craint que ma conduite...est » déchiré de trouver dans l'acte d'accusation a l'imputation d'avoir voulu faire répandre le » sang du peuple ,_et surtout que les malheurs »... | |
 | Charles Lacretelle, Jean Charles D. de Lacretelle - 1824 - 526 pàgines
...vous déclare que ma conscience ne « me reproche rien , et que mes défenseurs « ne vous ont dit que la vérité. « Je n'ai jamais craint que ma conduite...mon cœur « est déchiré de trouver dans l'acte d'accusa« tion l'imputation d'avoir voulu faire répan« dre le sang du peuple, et surtout que les... | |
 | Charles Lacretelle - 1824 - 526 pàgines
...est déchiré de trouver dans l'acte d'accusa« tion l'imputation d'avoir voulu faire répan« dre le sang du peuple , et surtout que les « malheurs...10 août me soient attribués. « J'avoue que les preuves multipliées que « j'avais données dans tous les temps de mon « amour pour le peuple , et... | |
 | Nicolas Louis Achaintre - 1825 - 506 pàgines
...je vous déclare que ma conscience ne me reproché rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. « Je n'ai jamais craint que ma conduite...d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et (') Cette incompétence , que l'on se feroit aujourd'hui un crime de ne pas reconnoître , a été... | |
 | 1825 - 358 pàgines
...vous ont dit la » vérité. » Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée pu» bliquement; mais mon cœur est déchiré de trouver dans » l'acte...le sang du peuple, et surtout que les malheurs du io août « me soient attribués. J'avoue que 'les gages multipliés que » j'avais donnés, dans tous... | |
 | Saint Albin Berville, François Barrière - 1825 - 372 pàgines
...vous ont dit la » vérité. » Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée pu » bliquement; mais mon cœur est déchiré de trouver dans » l'acte...le sang du peuple, et surtout que les malheurs du io août » me soient attribués. J'avoue que les gages multipliés que » j'avais donnés, dans tous... | |
 | Cléry (M.) - 1825 - 360 pàgines
...ont dit la » vérité. • » Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinee pu» bliquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver dans » l'acte...le sang du peuple, et surtout que les malheurs du i0 août » me soient attribués. J'avoue que les gages multipliés que » j'avais donnés, dans tous... | |
 | Guillaume Honoré Rocques ¬de Montgaillard - 1827 - 476 pàgines
...vous déclare que ma conscience ne » me reproche rien , et que mes défenseurs ne vous » ont dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma » conduite...10 août me » soient attribués. J'avoue que les preuves multi» pliées que j'avais données dans tous les temps de » mon amour pour le peuple , et... | |
 | abbé Guillaume Honoré Rocques de Montgaillard - 1827 - 474 pàgines
...vous déclare que ma conscience ne » me reproche rien , et que mes défenseurs ne vous » ont dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma, » conduite...10 août me; » soient attribués. J'avoue que les, preuves multi» pliées que j'avais données dans tous les temps de •• mon amour pour le peuple... | |
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En vous parlant peut-être pour la dernière fois , je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien , et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. > Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement ; mais mon cœur est... 
