| Etienne Cabet - 1845 - 588 pàgines
...JE VAIS au Conseil do la Commune. » « Je me rend* à la Force avec plusieurs de mes collègues... Non, jamais ce spectacle ne s'effacera de mon cœur... Je vois deux officiers municipaux avec leurs écharpes , des jurés , des juges... Une douzaine de bourreaux , les bras nus, couverts... | |
| Albert Maurin - 1843 - 532 pàgines
...officiers municipaux, dès qu'il eut appris les massacres. Écoutons le récit qu'il nous a laissé : « Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit à cette prison. Une très faible garde était à la porte j'entre. .... Non , jamais ce spectacle ne s'effacera de mon... | |
| Albert Maurin - 1849 - 546 pàgines
...officiers municipaux, dès qu'il eut appris les massacres. Écoutons le récit qu'il nous a laissé : « Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit à cette prison. Une très faible garde était à la porte j'entre Non , jamais ce spectacle ne s'effacera de mon cœur... | |
| Adolphe Granier de Cassagnac - 1852 - 372 pàgines
...paisibles^ dit-il, obstruaient la rue qui conduit à cette prison. — Une très-faiblegardeélailkh porte; j'entre!... Non, jamais ce spectacle ne s'effacera de mon cœur. Je vois deux officiers revêtus de leurs écharpes; je vois trois hommes tranquillement assis devant une table^ les registres... | |
| Alphonse de Lamartine - 1861 - 482 pàgines
...l'hôtel de la Force avec plusieurs de ses collègues. « Des ci» toyens assez paisibles, at-il dit, obstruaient la rue qui » conduit à cette prison....tranquillement » assis devant une table, les registres d'écrous ouverts et » sous leurs yeux , faisant l'appel des prisonniers ; d'autres » hommes les... | |
| Adolphe Granier de Cassagnac - 1860 - 618 pàgines
...citoyens assez paisibles, dit-il, obstruaient la rue qui conduit à cette prison. — Une très- faible garde était à la porte; j'entre!... Non, jamais...ne s'effacera de mon cœur. Je vois deux officiers revêtus de leurs écharpes; je vois trois hommes tranquillement assis devant une table, les registres... | |
| Joseph Guadet - 1861 - 428 pàgines
...l'hôtel de La Force avec plusieurs de ses collègues. « Des citoyens assez paisibles, at-il dit, obstruaient la rue qui conduit à cette prison. Une...tranquillement assis devant une table, les registres d'écrous ouverts et sous leurs yeux, faisant l'appel des prisonniers; d'autres hommes les interrogeant... | |
| Louis Mortimer-Ternaux - 1868 - 664 pàgines
...intentée à Robespierre, t. XXI de {'Histoire parlementaire, p. 105, 106. 3ÎO HISTOIRE 1)H LA TEKRKUU. « Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit à cette prison ; une très-grande foule était à la porte... Non, jamais ce spectacle ne s'ellacera de mon cœur. Je vois... | |
| Edmond Biré - 1881 - 472 pàgines
...Petion se montre .. Mais laissonsle raconter lui-même cette visite in extremis : Je vois deux officiers revêtus de leur écharpe; je vois trois hommes tranquillement assis devant une table, les registres d'écrous ouverts et sous leurs yeux, faisant l'appel des prisonniers; d'autres hommes les interrogeant,... | |
| Joseph Guadet - 1889 - 486 pàgines
...et les prisonniers massacrés. dit, obstruaient la rue qui conduit à cette prison. Une très faible garde était à la porte. J'entre!... non, jamais...tranquillement assis devant une table, les registres d'écrous ouverts et sous leurs yeux, faisant l'appel des prisonniers; d'autres hommes les interrogeant;... | |
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