| Pierre de Vaissière - 1912 - 516 pàgines
...quoy vous faites profession. La vostre vous a conseillé de me tuer sans m'ouïr, n'ayant receu de moy aucune offense, et la mienne me commande que je vous pardonne, tout convaincu que vous estes de m'avoir voulu homicider sans raison. Allez-vous en, retirezvous que je ne vous voye plus icy,... | |
| Michel de Montaigne - 1922 - 462 pàgines
...profession. La vostre vous a conseillé de me tuer sans m'ouir, n'ayant receu de moy aucune offence ; et la mienne me commande que je vous pardonne, tout convaincu que vous estes de m'avoir voulu homicider sans raison. Allez vous en, retirez vous, que je ne vous voye plus... | |
| Michel de Montaigne - 1924 - 542 pàgines
...profession. La vostre vous a conseillé de me 10 tuer sans m'ouir, n'ayant receu de moy aucune ofience; et la mienne me commande que je vous pardonne, tout convaincu que vous estes de m'avoir voulu homicider sans raison1. Allez vous en, retirez vous, que je ne ,5 vous voye... | |
| Théophile Lavallée - 1838 - 630 pàgines
...que celle de » quoi vous faites profession : la voire vous a conseillé de me tuer .«ans m'ouïr, n'ayant reçu » de moi aucune offense ; et la mienne...que vous êtes de m'avoir voulu tuer sans raison, i ( Essais de Montaigne , liv. I , cli. 23.) * Lettre de Coligny à la reine. 5 Pasquier, liv. IV, p.... | |
| 115 pàgines
...douce que celle de quoi vous faites profession. La vôtre vous a conseillé de me tuer sans m'ouïr, n'ayant reçu de moi aucune offense ; et la mienne...pardonne, tout convaincu que vous êtes de m'avoir voulu homicider sans raison. Allez-vous-en, retirez-vous, queje ne vous voie plus ici ; et, si vous êtes... | |
| François-Xavier Feller - 1867 - 644 pàgines
...de me ч tuer sans m'ouïr , n'ayant reçu de moi « aucune offense ; et la mienne* me com« mande que je vous pardonne, tout « convaincu que vous êtes de m'avoir « voulu tuer sans raison ! • HEîfOCH. (Voyez ENOCH.) ESIPEHEUBS D'ALLEMAGNE. HENRI I" fut surnommé l'Oiielevr , Caree que... | |
| Société des sciences, belles-lettres et arts d'Orléans - 1877 - 330 pàgines
...« profession. La vostre vous a conseillé de me tuer sans « m'ouïr, n'ayant reçu de moy aulcune offense, et la « mienne me commande que je vous pardonne tout « convaincu que vous estes de m'avoir voulu tuer sans « raison. Allez-vous-en, retirez-vous, que je ne vous voye « plus... | |
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