Un drap noir fut jeté sur ses restes. Les deux comtes ne laissèrent point, selon l'usage, au bourreau, la croix d'or qu'elle avait à son cou, les chapelets qui pendaient à sa ceinture, ni les vêtements qu'elle portait avant de ' mourir, de peur que,... Histoire de Marie Stuart - Pàgina 406per Mignet (M., François-Auguste-Marie-Alexis) - 1852Visualització completa - Sobre aquest llibre
| Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud, Barthélemy Hauréau, Léopold Delisle, Gaston Bruno Paulin Paris, René Cagnat, Alfred Merlin - 1850 - 790 pàgines
...sienne : et dit : Amen. C'était celle du sombre comte de Kent2. Un drap noir fut jeté sur ses restes3. Les deux comtes ne laissèrent point, selon l'usage,...bourreau, la croix d'or qu'elle avait à son cou, les cbapelets qui pendaient à sa ceinture, ni les vêtements qu'elle portait au moment de mourir, de peur... | |
| François Auguste Marie MIGNET, Mignet (M., François-Auguste-Marie-Alexis) - 1851 - 552 pàgines
...so perish ail the Queene's enemyes! » Ellis, p. 117. ' — Jebb, p. 101. — Camden, t II, p. 537. Un drap noir fut jeté sur ses restes'. Les deux comtes...rachetées par ses serviteurs, ces dépouilles chères et vénérées ne fussent transformées en reliques. Ils les brûlèrent2. Ils mirent le plus grand soin... | |
| François Auguste Mignet - 1851 - 440 pàgines
...la sienne, et dit : Amen- C'était celle du sombre comte de Kent 5. Un drap noir fut jeté sur les restes». Les deux comtes ne laissèrent point, selon...rachetées par ses serviteurs, ces dépouilles chères et vénérées ne fussent transformées en reliques. Ils les brûlèrent'. Us mirent le plus grand soin... | |
| Mignet (M., François-Auguste-Marie-Alexis) - 1852 - 508 pàgines
...sauve la reine Elisabeth '. — Ainsi périssent tous ses ennemis, » ajouta le docteur Fletcher*. Une seule voix se fit entendre après la sienne, et...reine d"Escosse, etc. Ms. de la Bibl. nat., fonds de Ilarlay Saint-Germain, n° 222, t. II, fol. 30 et suiv.; et dans Teulet, Pièces et documents, t. II,... | |
| Mignet (M., François-Auguste-Marie-Alexis) - 1854 - 468 pàgines
...seule voix se fit entendre après la sienne, et dit : Amen! C'était celle du sombre comte de Kent5. Un drap noir fut jeté sur ses restes *. Les deux...pendaient à sa ceinture, ni les vêtements qu'elle portail au moment de mourir, de peur que, rachetées par ses serviteurs, ces dépouilles chères et... | |
| Prosper Poitevin - 1865 - 396 pàgines
...seule voix se fit entendre après la sienne, et dit: ^men! C'était celle du sombre comte de Kent. Un drap noir fut jeté sur ses restes. Les deux comtes...à sa ceinture, ni les vêtements qu'elle portait avant de mourir, de peur que, rachetées par ses serviteurs, ces dépouilles chères et vénérées... | |
| Frederick Leypoldt - 1857 - 332 pàgines
...seule voix se fit entendre après la sienne, et dit: Amen! C'était celle du sombre comte de Kent. Un drap noir fut jeté sur ses restes. Les deux comtes...à sa ceinture, ni les vêtements qu'elle portait avant de mourir, de peur que, rachetées par ses serviteurs, ces dépouilles chères et vénérées... | |
| L. Pylodet - 1867 - 330 pàgines
...seule voix se fit entendre après la sienne, et dit: Amen! C'était celle du sombre comte de Kent. Un drap noir fut jeté sur ses restes. Les deux comtes...à sa ceinture, ni les vêtements qu'elle portait avant de mourir, de peur que, rachetées par ses serviteurs, ces dépouilles chères et vénérées... | |
| 1868 - 332 pàgines
...seule voix se fit entendre après la sienne, et dit: Amen! C'était celle du sombre comte de Kent. Un drap noir fut jeté sur ses restes. Les deux comtes...à sa ceinture, ni les vêtements qu'elle portait avant de' mourir, de peur que, rachetées par ses serviteurs, ces dépouilles chères et vénérées... | |
| Frederick Leypoldt, L. Pylodet - 1870 - 324 pàgines
...seule voix se fit entendre après la sienne, et dit : Amen ! C'était celle du sombre comte de Kent. Un drap noir fut jeté sur ses restes. Les deux comtes...à sa ceinture, ni les vêtements qu'elle portait avant de ' mourir, de peur que, rachetées par ses serviteurs, ces dépouilles chères et vénérées... | |
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