 | Alphonse de Lamartine - 1823 - 228 pàgines
...mort sa majesté. Le vent qui caressoit sa tête échevelée Me montroit tour à tour ou me voiloit ses traits, Comme l'on voit flotter sur un blanc mausolée L'ombre des noirs cyprès. "X Un de ses bras pendoit de la funèbre couche, L'autre, languissamment replié sur son cœur, Sembloit... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1824 - 296 pàgines
...mort sa majesté. Le vent qui caressoit sa téle échevelée Me montroit tour à tour ou me voiloit ses traits, Comme l'on voit flotter sur un blanc mausolée L'ombre des noirs cyprès. , Urt de ses bras pendoit de la funèbre couche, L'autre, languissamment replié sur son cœur, Sembloit... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1834 - 400 pàgines
...sa grace , La mort sa majesté. Le vent qui caressait sa tête échevelée Me montrait tour à tour ou me voilait ses traits , Comme l'on voit flotter...s'entr'ouvraient pour l'embrasser encore , Mais son ame avait fui dans ce divin baiser, Comme un léger parfum que la flamme dévore , Avant de l'embraser.... | |
 | 1836 - 584 pàgines
...Pareils aux chants plaintifs que murmure une femme A l'enfant qui s'endort. Un de ses bras pendait sur la funèbre couche , L'autre , languissamment replié...cœur, Semblait chercher encore et presser sur sa boucha L'image du Sauveur. Voici maintenant la traduction latine de ces quatre strophes : 0 cui supremis... | |
 | Patrice-François-Marie Cruice - 1840 - 406 pàgines
...grâce, La mort sa majesté. Le vent, qui caressait sa tête échevelée, Me montrait tour à tour ou me voilait ses traits, Comme l'on voit flotter...presser sur sa bouche L'image du Sauveur. Ses lèvres s'cutr'ouvraient pour l'embrasser encore, Mais son âme avait fui dans ce divin baiser, Comme un léger... | |
 | 1849 - 778 pàgines
...poet and the Julie of Raphael are one and the same person : — 1849.] lamartine's Raphael. [February, Un de ses bras pendait de la funèbre couche, L'autre...encore, Mais son âme avait fui dans ce divin baiser, Gomme un léger parfum que la flamme ¿évore Avant de l'embrasser ! We are now arrived at the Restoration,... | |
 | Eugène de Mirecourt - 1854 - 626 pàgines
...Graziella dormait depuis cinq ans. Un de ses bras pendait de la funèbre couche; L'autre, lansuissamracnt replié sur son cœur, Semblait chercher encore et presser sur sa bouche L'image du Sauveur. Ei moi, debout, saisi d'une terreur scct cie, Je n'osais m'approcher de ce reste adoré, Comme si du... | |
 | abbé Pinard - 1858 - 778 pàgines
...1 L'ii de ses bras pendait tie h fuui-bre co'iche ; L'autre, languissammenl replié sur son cirur. Semblait chercher encore et presser sur sa bouche L'image du Sauveur. Ses livres s'pntr'ouvraient pour l'embrasser encore, Mais son âme avait fui dans ce divin Iniser, Comme... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1860 - 556 pàgines
...sa grâce, La mort sa majesté. Le vent qui caressait sa tête échevelée Me montrait tour à tour ou me voilait ses traits, Comme l'on voit flotter...encore et presser sur sa bouche L'image du Sauveur. Ses lévres s'entr'ouvraient pour l'embrasser encore Mais son âme avait fui dans ce divin baiser, Comme... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1860 - 568 pàgines
...sa grâce, La mort sa majesté. Le vent qui caressait sa tête échevelée Me montrait tour à tour ou me voilait ses traits. Comme l'on voit flotter...encore et presser sur sa bouche L'image du Sauveur. vScs lèvres s' en tr' ouvraient pour l'embrasser encore, Mais son âme avait fui dans ce divin baiser,... | |
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De son pieux espoir son front gardait la trace, Et sur ses traits, frappés d'une auguste beauté, La douleur fugitive avait empreint sa grâce, La mort sa majesté. Le vent qui caressait sa tête échevelée Me montrait tour à tour ou me voilait ses... 
