| 1851 - 332 pàgines
...air, de quelle, boutique ils étaient balayeurs. « Puis en avant, après les valets, venaient les courtisans de toute espèce : « Le plus grand nombre,...toujours de la même louange, c'est-à-dire de bonté... » Puis, après les sots, on a les plus fins; on en a même quelques-uns sincèrement affligés ou... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 440 pàgines
...leur air de quelle boutique ils étaient balayeurs. » Puis en avant, après les valets, venaient les courtisans de toute espèce : « Le plus grand nombre,...toujours de la même louange, c'est-à-dire de bonté... » Puis, après les sots, on a les plus fins; on en a même quelques-uns sincèrement affligés ou... | |
| Alphonse Marie L. de Prat de Lamartine - 1852 - 572 pàgines
...Les premières pièces offraient les mugisse« ments continus des valets; plus avant commen« cait la foule des courtisans de toute espèce. Le « plus...« égarés et secs , louaient monseigneur , mais tou« jours de la même louange, c'est-à-dire de bonté. « et plaignaient le roi de la perte d'un... | |
| Alphonse de Lamartine - 1852 - 654 pàgines
...Les premières pièces offraient les mugisse« ments continus des valets; plus avant commen« cait la foule des courtisans de toute espèce. Le « plus...yeux « égarés et secs , louaient monseigneur, mais tou« jours de la même louange, c'est-à-dire de bonté. « et plaignaient le roi de la perte d'un... | |
| Eugène Geruzez - 1852 - 610 pàgines
...voyons en regard celle des courtisans de Louis XIV au moment où le grand Dauphin vient d'expirer. « Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus grand nombre, c'est-a-dire les sots, tiraient des soupirs de leurs talons , et , avec des yeux égarés et secs,... | |
| Eugène Geruzez - 1852 - 564 pàgines
...voyons en regard celle des courtisans de Louis XIV au moment où le grand Dauphin vient d'expirer. « Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus grand nombre, c'est-a-dire les sots, tiraient des soupirs de leurs talons , et , avec des yeux égarés et secs,... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1853 - 526 pàgines
...accourus aux nouvelles, et qui montraient bien à leur air de quelle boutique ils étaient balayeurs. Plus avant commençait la foule des courtisans de...soupirs de leurs talons, et, avec des yeux égarés etsecs, louaient Monseigneur, mais toujours de la même louange, c'est-à-dire de bonté, et plaignaient... | |
| Hippolyte Adolphe Taine - 1853 - 216 pàgines
...Messieurs les courtisans. Cette moquerie est légère. Saint-Simon est plus passionné et plus amer. « Plus avant commençait la foule des courtisans de...plus grand nombre, c'est-à-dire les sots, tiraient leurs soupirs de leurs talons , et , avec des yeux égarés et secs , louaient Monseigneur , mais toujours... | |
| Alphonse de Lamartine - 1856 - 436 pàgines
...Les premières pièces offraient les mugisse» ments continus des valets ; plus avant commen» cait la foule des courtisans de toute espèce. Le • plus...yeux » égarés et secs, louaient monseigneur, mais tou» jours de la même louange, c'est-à-dire de bonté, » et plaignaient le roi de la perte d'un... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1858 - 566 pàgines
...leur air de quelle boutique Us étaient balayeurs. » Puis en avant, après les valets, venaient les courtisans de toute espèce : « Le plus grand nombre,...et secs louaient Monseigneur, mais toujours de la môme louange, c'est-à-dire de bonté... » Puis, après les sots, on a les plus fins; on en a même... | |
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