Journal des demoiselles

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Bureau du journal, 1881
 

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Pàgina 25 - Ma fille, va prier ! D'abord, surtout, pour celle Qui berça tant de nuits ta couche qui chancelle , Pour celle qui te prit jeune âme dans le ciel, Et qui te mit au monde, et depuis, tendre mère , Faisant pour toi deux parts, dans cette vie amère , Toujours a bu l'absinthe , et t'a laissé le miel...
Pàgina 320 - D'un cœur qui t'aime, Mon Dieu, qui peut troubler la paix? Il cherche en tout ta volonté suprême , Et ne se cherche jamais.
Pàgina 144 - Plus avant commençoit la foule des courtisans de toute espèce. Le plus grand nombre, c'est-à-dire les sots, tiraient des soupirs de leurs talons, et, avec des yeux égarés et secs...
Pàgina 171 - Dur et colère jusqu'aux derniers emportements et jusque contre les choses inanimées ; impétueux avec fureur, incapable de souffrir la moindre résistance, même des heures et des éléments, sans entrer dans des fougues à faire craindre que tout ne se rompît dans son corps ; opiniâtre à l'excès ; passionné pour toute espèce de volupté, et des femmes, et, ce qui est rare à la fois, avec un autre penchant tout aussi fort.
Pàgina 202 - Abufar, cette fleur sauvage du désert, qui exhale tous les parfums de vertu d'une famille patriarcale. On y reconnaît l'homme qui écrivait : « La solitude est pour mon âme ce que les cheveux de Samson étaient pour sa force corporelle. Oui , mon ami , j'ai épousé le désert, comme le doge de Venise épousait la mer Adriatique : j'ai jeté mon anneau dans les forêts. » Et ailleurs : « Mon père était un homme rare et digne du temps des patriarches. C'est...
Pàgina 6 - Pour l'extérieur, un petit homme vigoureux et maigre, un visage en losange, un nez grand et aquilin, des yeux beaux, parlants, perçants, qui ne regardaient qu'à la dérobée, mais qui, fixés sur un client ou sur un magistrat, étaient pour le faire rentrer en terre ; un habit peu ample, un rabat presque d'ecclésiastique et des manchettes plates comme eux, une perruque fort brune et fort mêlée de blanc, touffue, mais courte, avec une grande calotte par-dessus.
Pàgina 199 - ... terribles. Les cheveux dressent encore sur la tête au souvenir de ces jours de meurtre et de feu, retentissant des clameurs du tocsin. Qui de nous a perdu la mémoire de ces hurlements, de ces cris aigus, entrecoupés de silences, durant lesquels on distinguait de rares coups de fusil, quelque voix lamentable et solitaire, et surtout le bourdonnement de la cloche d'alarme, ou le son de l'horloge qui frappait tranquillement l'heure écoulée...
Pàgina 227 - D'une mère émue à mon nom ! Maintenant quand j'entends encore Ses sourds tintements sur les flots, Chaque coup du battant sonore Me semble jeter des sanglots. Pourquoi? Dans la tour isolée C'est le même timbre argentin ; Le même hymne sur la vallée, Le même salut au matin...
Pàgina 201 - Mon sort! je le préfère A l'hymen le plus doux , au trône de mon frère. Hélas ! c'est à mon bras que le vôtre eut recours. Si mon sexe trop faible a borné mes secours, Par ma tendresse au moins j'ai calmé vos alarmes ; J'ai soutenu vos pas , j'ai recueilli vos larmes. Hélas! pour vous nourrir, j'ai souvent mendié Les refus insultans d'une avare pitié.
Pàgina 65 - But happy they ! the happiest of their kind ! Whom gentler stars unite, and in one fate Their hearts, their fortunes, and their beings blend. 'Tis not the coarser tie of human laws, Unnatural oft and foreign to the mind, That binds their peace, but harmony itself, Attuning all their passions into love ; Where Friendship...

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