| 1824 - 668 pàgines
..., je vis tous les chemins jonchés de nos soldats qui , oubliant la fatigue qa'ils avaient essuyée pendant plusieurs jours et le besoin extrême qu'ils...repos , ne respiraient que l'envie et le seul plaisir d'élciudre leur soif dans le sang ennemi. Comme un éclair, je les vis , pour précipiter plus brusquement... | |
| 1858 - 610 pàgines
...memoire et qui rendra notre paroisse respectable à toute la postérité,.... dans un moment je vis tons les chemins jonchés de nos soldats, qui, oubliant...précipiter plus brusquement l'action , se partager en Irois colonnes et voler sur leur proie. Les uns suivirent la trace ennemie par lo Moubn-d'Anne , les... | |
| Arthur La Broderie, Émile Grimaud - 1858 - 604 pàgines
...venaient d'essuyer pendant plusieurs jours , et le besoin extrême qu'ils avaient de rafraichissement et de repos, ne respiraient que l'envie et le seul plaisir d'éteindre leur foif dans le sang ennemi. Comme un éclair, je les vis . pour précipiter plus brusquement l'action... | |
| 1858 - 610 pàgines
...onbli an t la fatigue qu'ils venaient d'essuyer pendant plusieurs jours , et le besoin extrême qu'Hs avaient de rafraîchissement et de repos, ne respiraient...d'éteindre leur soif dans le sang ennemi. Comme un éelair, je les vis . pour précipiter plus brusquement l'action , se partager en trois colonnes et... | |
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