| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1829 - 436 pàgines
...et qui montraient bien à leur air de quelle boutique ils étaient balayeurs. Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus...leurs talons , et , avec des yeux égarés et secs , louaient Monseigneur, mais toujours de la même louange, c'est-à-dire de bonté, et plaignaient... | |
| 1851 - 332 pàgines
...air, de quelle, boutique ils étaient balayeurs. « Puis en avant, après les valets, venaient les courtisans de toute espèce : « Le plus grand nombre,...leurs talons, et, avec des yeux égarés et secs, louaient Monseigneur, mais toujours de la même louange, c'est-à-dire de bonté... » Puis, après... | |
| Eugène Geruzez - 1852 - 570 pàgines
...des courtisans de Louis XIV au moment où le grand Dauphin vient d'expirer. » Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus...leurs talons , et , avec des yeux égarés et secs, louaient Monseigneur, mais toujours de la même louange, c'est-à-dire de bonté, et plaignaient le... | |
| Alphonse Marie L. de Prat de Lamartine - 1852 - 572 pàgines
...Les premières pièces offraient les mugisse« ments continus des valets; plus avant commen« cait la foule des courtisans de toute espèce. Le « plus...leurs talons, et, avec des yeux « égarés et secs , louaient monseigneur , mais tou« jours de la même louange, c'est-à-dire de bonté. « et plaignaient... | |
| Alphonse de Lamartine - 1852 - 654 pàgines
...Les premières pièces offraient les mugisse« ments continus des valets; plus avant commen« cait la foule des courtisans de toute espèce. Le « plus...leurs talons, et, avec des yeux « égarés et secs , louaient monseigneur, mais tou« jours de la même louange, c'est-à-dire de bonté. « et plaignaient... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 440 pàgines
...leur air de quelle boutique ils étaient balayeurs. » Puis en avant, après les valets, venaient les courtisans de toute espèce : « Le plus grand nombre,...de leurs talons, et avec des yeux égarés et secs louaient Monseigneur, mais toujours de la même louange, c'est-à-dire de bonté... » Puis, après... | |
| Eugène Geruzez - 1852 - 610 pàgines
...Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus grand nombre, c'est-a-dire les sots, tiraient des soupirs de leurs talons , et , avec des yeux égarés et secs, louaient Monseigneur, mais toujours de la même louange, c'est-à-dire de bonté, et plaignaient le... | |
| Eugène Geruzez - 1852 - 564 pàgines
...Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus grand nombre, c'est-a-dire les sots, tiraient des soupirs de leurs talons , et , avec des yeux égarés et secs, louaient Monseigneur, mais toujours de la même louange , c'est-à-dire de bonté, et plaignaient le... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1853 - 526 pàgines
...et qui montraient bien à leur air de quelle boutique ils étaient balayeurs. Plus avant commençait la foule des courtisans de toute espèce. Le plus...soupirs de leurs talons, et, avec des yeux égarés etsecs, louaient Monseigneur, mais toujours de la même louange, c'est-à-dire de bonté, et plaignaient... | |
| Alphonse de Lamartine - 1856 - 446 pàgines
...Les premières pièces offraient les mugisse» ments continus des valets ; plus avant commen• cait la foule des courtisans de toute espèce. Le • plus...leurs talons , et , avec des yeux » égarés et secs , louaient monseigneur, mais tou» jours de la même louange, c'est-à-dire de bonté, » et plaignaient... | |
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