| 1806 - 926 pàgines
...le vent frappa sur les voiles, et nous eut enlevé la vue de la terre, tellement que nous ne vîmes que le ciel et l'eau; et chaque jour le vent nous éloigna des pays où nous étions nés. » C'est Joinville qui s'exprime avec cette candeur et cette mélancolie... | |
| Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - 1836 - 664 pàgines
...bref temps, le vent enfla les voiles, et nous enleva si bien la vue de la terre, que nous ne vîmes que le ciel et l'eau ; et, chaque jour, le vent nous éloigna des pays où nous étions nés, et par là vous fais-je voir que celui-là est bien fou hardi qui s'ose... | |
| Jean Marie N. Désiré Nisard - 1844 - 542 pàgines
...temps, le vent frappa dans les voiles, et nous enleva si bien la vue de la terre, que nous ne vîmes que le ciel et l'eau, et chaque jour le vent nous éloigna du pays où nous élions nés : et par là vous fais-je voir que celui-là est bien fou hardi qui s'ose... | |
| Désiré Nisard - 1844 - 520 pàgines
...temps, le vent frappa dans les voiles, et nous enleva si bien la vue de la terre, que nous ne vîmes que le ciel et l'eau , et chaque jour le vent nous éloigna du pays où nous élions nés : et par là vous fais-je voir que celui-là est bien fou hardi qui s'ose... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1855 - 452 pàgines
...ainsi firent. Et en bref temps le vent donna dans la voile et nous ôta la vue de la terre, si bien que nous ne vîmes plus que le ciel et l'eau; et chaque jour nous éloignait le vent des pays où nous étions nés. Et ces choses vous montrai-je parce que celui-là... | |
| Nouvelle biographie - 1858 - 558 pàgines
...chantées à bord de son navire, il nous dit : n Aussitôt le vent se ferit dans les voiles et nous déroba la veue de la terre, en sorte que nous ne...celui qui s'ose mettre en tel péril avec le bien d'antrui ou en péché mortel ! Car le soir on s'endort là, et on ne sait si on ne trouvera point... | |
| 1858 - 504 pàgines
...chantées à bord de son navire, il nous dit : « Aussitôt le vent se ferit dans les voiles et nous déroba la veue de la terre, en sorte que nous ne...que le ciel et l'eau, et chaque jour le vent nous éloisna de plus en plus des pays où nous étions né-. Est bien fol hardi, ajoute-t-il, celui qui... | |
| Hoefer (M., Jean Chrétien Ferdinand) - 1858 - 508 pàgines
...chantées à bord de son ; navire, il nous dit : « Aussitôt le vent se ferit dans les voiles et nous déroba la veue de la ; terre, en sorte que nous ne vîmes plus que !•• ciel et l'eau, et chaque jour le vent nous éloigna de plus en plus des pays oii nous étions... | |
| Jean Joinville (sire de), Ambroise Firmin-Didot, Paulin Paris - 1858 - 592 pàgines
...chantées à bord de son navire, ll nous dit : « Aussitôt le vent se ferit dans les voiles et nous « déroba la veue de la terre , en sorte que nous ne vîmes a plus que le ciel et l'eau , et chaque jour le vent nous a éloigna de plus en plus des pays où nous... | |
| Jean Joinville (sire de), Ambroise Firmin-Didot, Paulin Paris - 1859 - 580 pàgines
...chantées à bord de son navire, il nous dit : « Aussitôt le vent se ferit dans les voiles et nous « déroba la veue de la terre , en sorte que nous ne...bien fol hardi, ajoute-t-il, celui qui s'ose mettre eu « tel péril avec le bien d' autrui ou en péché mortel ! Car le « soir on s'endort là , et... | |
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