| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1817 - 648 pàgines
...ce qu'il me reste encore de lumière , n'est que l'aurore du jour où ils se fermeront pour jamais. Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui fut préjudiciable à ma familie , je le rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque chose qui fût utile à ma famille... | |
| 1880 - 1496 pàgines
...beiderlei Gebrauch aufweisen. Si je savais quelque chose qui me l' A l utile et qui fut prejudiciable ä ma famille, je le rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque chose qui fut utile ä ma famille et qui ne le fut pas ä ma patrie, je chercherais a l'oublier. Si je savais... | |
| Thomas Braun - 1854 - 330 pàgines
...intérêt personnel pour le bonheur général. « Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille, je le rejetterais de...quelque chose qui fût utile à ma famille et qui nuisît à mon pays, je le regarderais comme crime (1 ). « Avant d'aller plus loin, nous nous demanderons... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1859 - 712 pàgines
...du jour où ils se fermeront pour jamais. Si je savois quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille, je le rejetterais de mon esprit. Si je savois quelque chose qui fût utile à ma famille , et qui ne le fût pas à ma patrie, je chercherais... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1865 - 474 pàgines
...l'aurore du jour où ils se fermeront pour jamais. Si je savois quelque chose qui me fdt utile et qui fût préjudiciable à ma famille , je le rejetterais de mon esprit. Si je savois quelque chose qui fût utile à ma famille , et qui ne le fût pas à ma patrie, je chercherais... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1866 - 582 pàgines
...du jour où ils se fermeront pour jamais. Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille, je le rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque chose qui fûtutile à ma famille, et qui ne le fût pas à ma patrie, je chercherais à l'oublier. Si je savais... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1872 - 948 pàgines
...du jour où ils se fermeront pour jamais. Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille, je le rejetterais de...quelque chose qui fût utile à ma famille, et qui ne le fûtpasà ma patrie, je chercherais à l'oublier. Si je savais quelque chose utile à ma patrie et... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1879 - 522 pàgines
...du jour où ils se fermeront pour jamais. Si je savois quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille, je le rejetterais de mon esprit. Si je savois quelque chose qui fût utile à ma famille et qui ne le fût pas à ma patrie, je chercherais... | |
| Eugène Geruzez - 1877 - 528 pàgines
...de la vie dans ces paroles mémorables : « Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille, je le rejetterais de...esprit. Si je savais quelque chose qui fût utile à ma l Dalembert, Éloges des académiciens. famille et qui ne le fût pas à ma patrie , je chercherais... | |
| Eugène Geruzez - 1877 - 522 pàgines
...de la vie dans ces paroles mémorables : « Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille, je le rejetterais de...esprit. Si je savais quelque chose qui fût utile à ma 1 Dalembert, Éloges des académiciens. famille et qui ne le fût pas à ma patrie, je chercherais... | |
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