| Jean de La Fontaine - 1814 - 346 pàgines
...montrer l'ini. b térieur de la chambre , il fut long-temps à en considérer la porte , et il se fit conter la manière dont le prisonnier étoit gardé....« Je vous en ferois » volontiers la description , dit-il dans le récit » de son voyage; mais ce souvenir est trop » affligeant » ; et cette description... | |
| Jean de La Fontaine - 1821 - 316 pàgines
...vous le confesse, mais enfin je le demandai. Le soldat qui nous conduisait n'avait pas la clef; an défaut, je fus long-temps à considérer la porte , et me fis conter la manière dont le prisonnier était gardé. Je vous en ferais volontiers la description ; mais ce souvenir est trop affligeant.... | |
| Charles Athanase Walckenaer - 1821 - 302 pàgines
...• demandai. Le soldat qui nous conduisoit •n'avoit pas la clef; au défaut, je fus long« temps à considérer la porte, et me fis conter « la manière dont le prisonnier étoit gardé. Jt« vous en ferois volontiers la description ; mais « ce souvenir est trop affligeant. Qu'est-il... | |
| Jean de La Fontaine - 1826 - 524 pàgines
..., et ou n'y avoit laissé qu'un trou par le haut. Je demandai de la voir : triste plaisir, je vous le confesse, mais enfin je le demandai. Le soldat...fus long-temps à considérer la porte, et me fis coûter la manière dont le prisonnier étoit gardé. Je vous en ferois volontiers la description;... | |
| Jean de La Fontaine - 1840 - 724 pàgines
...triste plaisir, je vous le confesse; mais enfin je le demandai. Le soldat qui nous conduisait n'avait pas la clef : au défaut, je fus longtemps à considérer...porte, et me fis conter la manière dont le prisonnier était gardé. Je vous en ferais volontiers la description ; mais ce souvenir est trop affligeant.... | |
| Adolphe Chéruel - 1855 - 548 pàgines
...qu'avait habitée Fouquet. « Je deraandai, dit-il, à voir cette chambre ; Iriste plaisir, je vous le confesse ; mais enfin je le demandai. Le soldat...je fus longtemps à considérer la porte, et me fis eonter la manière dont le prisonnier étoit gardé. Je vous en ferois volontiers la description; mais... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1857 - 524 pàgines
...demandai. Le soldat qui nous conduisuit n'avoit раз la с!еГ ; au défaut, je fus longtemps a considérer la porte et me fis conter la manière dont le prisonnier éloit gardé. Je vous en ferois volontiers la description ; mais ce souvenir est trop alfligeant.... | |
| Académie delphinale - 1861 - 762 pàgines
...plaisir, je vous le confesse, » mais enfin je le demandai ; le soldat qui nous conduisait n'a» vait pas la clef. Au défaut , je fus longtemps à considérer la » porte, et me fit conter la manière dont le prisonnier était » gardé. » Ici, description douloureuse en prose... | |
| Hippolyte-Adolphe Taine - 1861 - 368 pàgines
...triste plaisir, je vous le confesse, mais enfin je le demandai. Le soldat qui nous conduisit n'avait pas la clef. Au défaut, je fus longtemps à considérer la porte.... Sans la nuit, on n'eût jamais pu m'arracher de cet endroit. » Son attachement pour Mme de La Sablière... | |
| Adolphe Chéruel - 1862 - 596 pàgines
...triste plaisir, je vous le confesse, mais enfin je le demandai. Le soldat qui nous conduisait n'avait pas la clef; au défaut, je fus longtemps à considérer la porte et me fis conter la manière dont leprisonnier était gardé. Je vous en ferais volontiers la description, -mais ce souvenir est trop... | |
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