Histoire de Marie Stuart, Volum 1

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Paulin, L'Heureux et Cie, 1852
 

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Passatges populars

Pàgina 133 - I that stomache to be in her that I find. She repented nothing but, when the Lords and others, at Inverness, came in the morning from the...
Pàgina 113 - L'agréable sujet de nos vers emporté, Comment pourraient chanter les bouches des poetes , Quand par vostre départ les Muses sont muettes. Tout ce qui est de beau ne se garde longtemps , Les roses et les lys ne régnent qu'un printemps.
Pàgina 342 - Vous deliant à trop grand tort de moy. Vous ignorez l'amour que je vous porte, Vous soupçonnez qu'autre amour me transporte, Vous estimez mes paroles du vent, Vous dépeignez de cire mon , las , cœur, Vous me pensez femme sans jugement, Et tout cela augmente mon ardeur.
Pàgina 112 - Elle, les deux bras sur la pouppe de la galère du costé du timon, se mist à fondre à grosses larmes, jettant toujours ses beaux yeux sur le port et le lieu d'où elle estoit partie, prononçant toujours ces tristes paroles : Adieu, France...
Pàgina 385 - It is a public speech among all the people, and amongst all estates (saving of the counselors) that their queen hath no more liberty nor privilege to commit murder nor adultery, than any other private person, neither by God's laws, nor by the laws of the realm.
Pàgina 277 - Madame, ne vous inquiétez de rien ; nous sommes ici les principaux de la noblesse et du Conseil de Votre Grâce, et nous trouverons bien le moyen de vous délivrer de lui sans aucun préjudice pour votre fils; et quoique milord Murray, ici présent...
Pàgina 251 - I, p. 347. si vous aviez été ici , vous n'auriez pas souffert qu'on m'eût traitée si indignement'. » Murray parut attendri. Mais le lendemain tous les conjurés réunis n'en délibérèrent pas moins sur ce qui leur restait à faire. Ils semblèrent disposés à conférer la couronne matrimoniale et le gouvernement du royaume à Darnley , à compléter l'établissement du protestantisme et à enfermer la reine dans le château de Stirling jusqu'à ce qu'elle eût approuvé toutes leurs entreprises*.
Pàgina 390 - They [ie the confederates] say, that they have as apparent proof against her as may be, as well by the testimony of her own hand-writing, which they have recovered, as also by sufficient witnesses.
Pàgina 145 - Dieu, la plus belle et la plus cruelle princesse du « monde; » et puis, fort constamment tendant le col à l'exécuteur, se laissa deffbire fort aisément.
Pàgina 176 - VI, p. 372. ment sur lui son choix, auquel le goût eut autant de part que la nécessité. Darnley lui plut extrêmement et ne tarda point à s'emparer de ce cœur aussi facile à émouvoir qu'à dégoûter. Marie Stuart ne fut bientôt plus maîtresse de la passion qu'il lui inspira et qu'elle laissa éclater à tous les yeux. Darnley étant tombé malade, elle ne le quitta ni le jour ni la nuit, et le veilla dans sa chambre comme s'il était déjà son mari '. Les...

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