An Introduction to the French Language: From the 5th English Ed

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Pàgina 104 - J'ai mon Dieu que je sers ; vous servirez le vôtre : Ce sont deux puissants dieux. JOAs. Il faut craindre le mien ; Lui seul est Dieu, madame, et le vôtre n'est rien.
Pàgina 61 - Il était aussi sage qu'on peut l'être, car il cherchait à vivre avec des sages. Instruit dans les sciences des anciens Chaldéens, il n'ignorait pas les principes physiques de la nature tels qu'on les connaissait alors, et savait de la métaphysique ce qu'on en a su dans tous les âges, c'est-à-dire fort peu de chose.
Pàgina 60 - La cigale, ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. « Je vous paierai, lui dit-elle, Avant Toût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Pàgina 104 - Que vous dit cette loi ? JOAS. Que Dieu veut être aimé ; Qu'il venge tôt ou tard son saint nom blasphémé ; Qu'il est le défenseur de l'orphelin timide ; Qu'il résiste au superbe, et punit l'homicide.
Pàgina 60 - La Cigale et la Fourmi. La cigale , ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau.
Pàgina 99 - Ma première visite fut au maréchal Jourdan. Il se souvenait bien vaguement qu'il avait existé un général Alexandre Dumas, mais il ne se rappelait pas avoir jamais entendu dire qu'il eût un fils. . . — Malgré tout ce que je pus lui dire, je le quittai au bout de dix minutes, paraissant très peu convaincu de mon existence.
Pàgina 11 - Et, quand il fut retourné à son travail, de temps en temps il levait les yeux, et regardait ces oiseaux, qui allaient et venaient portant la nourriture à leurs petits. Or, voilà qu'au moment où l'une des mères rentrait avec sa becquée, un vautour la saisit, l'enlève ; et la pauvre mère, se débattant vainement sous sa serre, jetait des cris perçants. A cette vue, l'homme qui travaillait sentit son âme plus troublée qu'auparavant : car, pensait-il, la mort de la mère, c'est la mort des...
Pàgina 14 - Oh ! si j'étais la maîtresse d'avoir tout ce que je souhaiterais, dit la femme, je serais bientôt plus heureuse que tous ces gens-là. — Et moi aussi, dit le mari, je voudrais être au temps des fées, et qu'il s'en trouvât une assez bonne, pour m'accorder tout ce que je désirerais.
Pàgina 95 - Lui-même," dit Joseph. Il n'y avait pas moyen de tomber à genoux dans la voiture ; le sergent se confond en excuses et supplie l'Empereur d'arrêter pour qu'il puisse descendre. — " Non pas," lui dit Joseph ; " après avoir mangé mon faisan, vous seriez trop heureux de vous débarrasser de moi aussi promptement ; j'entends bien que vous ne me quittiez qu'à votre porte.
Pàgina 10 - Deux hommes étaient voisins, et chacun d'eux avait une femme et plusieurs petits enfants, et son seul travail pour les faire vivre. Et l'un de ces deux hommes s'inquiétait en luimême, disant : Si je meurs, ou que je tombe malade, que deviendront ma femme et mes enfants...

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