...menaçant de l'abandonner. Je fçai — „ bien , lui difoit-il , qu'un matin vous I'* * m' envoyer ez. , comme vous faites d'autres .• mais je jure Dieu que vous ne vivrez, joint l'uit jours après. Louis regardant Coittier comme l'arbitre de fes jours , n'ofoit ni le refufer...

...empire, & le menaçant de l'abandonner. Je fçai bien , lui difoit-il , qu'un matin vous m'enyoyerez, comme vous faites d'autres : mais je jure Dieu que...après. Louis , regardant Coittier comme l'arbitre de fes jours * n'pfoit ni le refufer ni lui répliquer. Il lui faifoit payer par mois dix-mille écus...

...de.ï'abandonoe.r. Je fçai bien , lui difoit-il , qu'un mutinvous m'envoyerez, comme vous faites d'au- , 1res : mais je jure Dieu que vous ne vivrez, point huit jours après. , Louis, regardant Coittier comme l'ar-. bitre de fes jours ,.:p'pfoit ni le refufer) ni lui répliquer.. Il ^ujifaifoit payer, part...

...empire, et le menaçant de l'abandonner. Je sais bien, lui disoic-il, qu un matin vous m'envqyerez, comme vous faites d'autres ; mais je jure Dieu que...vivrez point huit jours après. Louis , regardant Coittior comme l'arbitre de ses jours , n'osoit ni le refuser, ni lui repliquer. Il lui faisoit payer,...

...empire, et le menacant de l'abandonner. Je sais bien, lui disoit-il, qu'un malin vous m'cnvoyerez, comme vous faites d'autres ; mais je jure Dieu que vous ne vivrez point huit jours apj'ès. Louis , regardant Coittier comme l'arbitre de ses jours, n'osoit ni. le refuser, ni lui répliquer....

...et le menaçant de l'aBandonner. « Je sais «bien, lui disoit-il, qu'un matin vous rn'envoyerez " comme vous faites d'autres ; mais je jure Dieu «..., regardant Coittier comme l'arbitre de ses jours, n'osoit ni le refuser, ni lui répliquer. Il lui faisoit payer par mois dix mille écus de gages fixes,...

...chaque instant de l'abandonner : « Je sais qu'un beau matin , « disait-il au roi, vous m'envoyerez comme vous « faites d'autres, mais je jure Dieu que vous ne « vivrez plus trois jours après.... » L'effrayé moribond prodiguait alors les richesses à son médecin......

...actuel ne date que du dix-septième siècle. qu'un matin vous m'enverrez où vous en avez envoyé tant d'autres, mais je jure Dieu que vous ne vivrez point huit jours après. s Louis souffrait tout de son médecin, devenu son tyran, et n'osait rien lui refuser; les gages deCoictier,...

...empire , et le menaçant de l'abandonner. Je sais bien , lui disait-il , qu'un matin vous m'envoyerez , comme vous faites d'autres : mais je jure Dieu que...ne vivrez point huit jours après. Louis, regardant Cottier comme l'arbitre de ses jours, n'osait ni le refuser ni lui répliquer. Il lui faisait payer...

...Coitier, qui le traitait avec brutalité et lui disait souvent : Je suis bien qu'un matin vous m'enverrez comme vous faites d'autres, mais je jure Dieu que vous ne vivrez pas huit jours après. Un astrologue qui avait prédit la mort d'une femme chère à Louis XI fut amené...