| HENRI MARTIN - 1857 - 576 pàgines
...suffisant secours » aux princes d'Allemagne; mais Coligni déclara qu'il aimerait mieux mourir « que consentir que ceux de la Religion fussent les...leurs ennemis, montrèrent une hésitation inattendue : L'Hospi tal , qu'ils avaient d'abord écarté du conseil, put de nouveau faire entendre sa voix;... | |
| François Laurent - 1863 - 558 pàgines
...un prompt et suffisant secours aux princes d'Allemagne, Coligny déclara qu'il aimerait mieux mourir que consentir que ceux de la religion fussent les premiers à faire venir des forces étrangères en France (2). Catherine de Médicis, désirant enlever aux réformés l'appui... | |
| Amédée Roget - 1877 - 1302 pàgines
...mais, nous apprend de Bèze, l'amiral rompit cette délibération disant qu'il aimerait mieux mourir que consentir que ceux de la religion fussent les premiers à faire venir des forces étrangères en France. » d'Andvee, par Hugues, l'Eglise de Pignan fournit au roi Charles... | |
| comte Jules Delaborde - 1881 - 650 pàgines
...princes d'Allemaj> gne : l'amiral leur rompit cette délibération, disant qu'il j> aimerait mieux mourir que consentir que ceux de la religion » fussent les...faire venir les forces étrangères en » France. Et pourtant fut arresté qu'on envoyeroit deux gen» tilshommes en Allemagne, seulement pour faire... | |
| François Laurent - 1879 - 566 pàgines
...un prompt et suffisant secours aux princes d'Allemagne, Coligny déclara qu'il aimerait mieux mourir que consentir que ceux de la religion fussent les premiers à faire venir des forces étrangères en France (2). Catherine de Médicis, désirant enlever aux réformés l'appui... | |
| 1883 - 1134 pàgines
...aux princes allemands, « l'amiral leur rompit la délibération, disant qu'il aimoit mieux mourir que consentir que ceux de la religion fussent les...à faire venir les forces étrangères en France, n On se contenta d'abord d'envoyer deux gentilshommes en Allemagne poar bien faire comprendre aux princes... | |
| Gabriel Hanotaux - 1893 - 588 pàgines
...quelque temps avant le traité d'Hamptoncourt , avait déclaré qu'il aimerait mieux mourir que de consentir que ceux de la religion fussent les premiers...à faire venir les forces étrangères en France. » — « Jusqu'ici, écrivait Calvin à Bullinger. (9 juin 1562 1, on a hésité à demander du secours... | |
| Louis N. Prunel - 1921 - 588 pàgines
...Berne Hebd., 18 nov. 1908. traité de Hamptoncourt, avait déclaré qu'il aimerait mieux mourir que de consentir que ceux de la religion fussent les premiers...à faire venir les forces étrangères en France. » Et cependant il s'y décida. «Ces hésitations, ajoute M. Hanotaux, prouvent que, dans le parti... | |
| John Viénot - 1926 - 556 pàgines
...première mention de ce projet, il avait « rompu la délibération » disant « qu'il aimait mieux mourir que consentir que ceux de la religion fussent les...premiers à faire venir les forces étrangères en France ». D'autre part, le roi d'Espagne offrait au roi de France 30. 000 hommes de pied, 6.000 chevaux.... | |
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