| 1787 - 370 pàgines
...ne foutinrent pas la converfation à l'ordinaire. Enfin, le Roi s'en alla, & tout ce qui fe trouvoit là de gens , furent pour ce moment les confidents les uns des autres. On s'étonna, on s'affligea, on hauflà les épaules. Cet étrange propos retentit bientôt au-delà de... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1829 - 448 pàgines
...rencontrant se dirent tout. Tout ce qui se trouva là de gens furent pour ce moment les contîdens les uns des autres. On admira, on s'étonna, on s'affligea, on haussa les épaules. Quelqueéloignée que soit maintenant cette scène, elle m'est toujours également présente. M. de... | |
| 1830 - 634 pàgines
...carpe; personne ne répondit, il adressa après la parole sur ces carpes à des gens de bâtimens, qui ne soutinrent pas la conversation à l'ordinaire; il ne fut question que de carpes avec eux , tout lut languissant , et le roi .s'en alla quelque temps après. Dès que nous osâmes nous regarder hors... | |
| Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante - 1835 - 414 pàgines
...carpe ; personne ne répondit : il adressa après la parole sur ces carpes à des gens de bâtimens , qui ne soutinrent pas la conversation à l'ordinaire...qui se trouva là de gens furent pour ce moment les confidens des uns et des autres. On admira , on s'étonna , on s'affligea , on haussa les épaules.... | |
| Hippolyte Fortoul - 1852 - 446 pàgines
...carpe. Personne ne répondit. Il adressa après la parole sur des carpes à des gens des bâtiments qui ne soutinrent pas la conversation à l'ordinaire...yeux se rencontrant se dirent tout. Tout ce qui se trouvait là de gens furent pour ce moment les confidents les uns des autres. On admira , on s'étonna... | |
| Aimable Guillaume Prosper Brugière de Barante - 1858 - 668 pàgines
...carpe; personne ne répondit : il adressa après la parole sur ces carpes à des gens de bâtiments, qui ne soutinrent pas la conversation à l'ordinaire...qui se trouva là de gens furent pour ce moment les conlîdentsdes uns ctdes autres. On aJmira, on s'étonna, on s'affligea, on haussa les épaules. Quelque... | |
| Adolphe Cheruel - 1865 - 688 pàgines
...gens des bâtiments, qui ne soutinrent pas la conversation à l'ordinaire ; il ne fut question que des carpes avec eux. Tout fut languissant, et le roi s'en...qui se trouva là de gens furent pour ce moment les confident» les uns des autres. On admira, on s'affligea, on s'étonna, on haussa les épaules. Quelque... | |
| Adolphe Chéruel - 1865 - 688 pàgines
...carpe; personne ne répondit. Il adressa après la parole sur ces carpes à des gens des bâtiments, qui ne soutinrent pas la conversation à l'ordinaire ; il ne fut question que des carpes avec eux. Tout fut languissant, et le roi s'en alla quelque temps après. « Dès que nous... | |
| Victor Fournel - 1872 - 626 pàgines
...carpe. Personne ne répondit. Il adressa après la parole sur ces carpes à des gens des bâtiments, qui ne soutinrent pas la conversation à l'ordinaire;...sa vue, nos yeux se rencontrant se dirent tout... J'examinais, moi, tous les personnages, des yeux et des oreilles, et je me sus gré d'avoir jugé depuis... | |
| Victor Fournel - 1872 - 642 pàgines
...carpes à des gens des bâtiments, qui ne soutinrent pas la conversation à l'ordinaire; il ne f.it question que de carpes avec eux. Tout fut languissant, et le roi s'en alla quelque temps apres. Dès que nous osâmes nous regarder hors de sa vue, nos yeux se rencontrant se dirent tout...... | |
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