 | 1772 - 618 pàgines
...ou celui de marcher à lui. Le Duc d'Orléans fut du dernier fentiment , mais le Maréchal de Marfm montra un ordre du Roi par lequel on devoit déférer à fon avis en cas d'action, .& eet avis contraire à celui du Duc d'Orléans , fut malheureufement fuivi. Les lignes étant trop étendues... | |
 | Louis Maïeul Chaudon - 1779 - 616 pàgines
...ou celui de marcher à lui. Le duc d'Orléans (ut du dernier fentimenti mais le maréchal de Marßn montra un ordre du roi , par lequel on devoit déférer...avis , contraire à celui du duc d'Orléans , fut malheureu/ement, fuivi. Les lignes étant trop étendîtes pour être bien gardées , il y eiit un... | |
 | Louis Mayeul Chaudon - 1779 - 622 pàgines
...celui de marchera lui. Le duc d'Orléans fut du dernier fentiment •, mais le maréchal de Marfin montra un ordre du roi, par lequel on devoit déférer...avis , contraire à celui du duc d'Orléans , fut malheurcufemer.r fuivi. Les lignes étant trop étendues pour être bien gardées , il y eut un quartier... | |
 | Louis Mayeul Chaudon - 1804 - 618 pàgines
...de circonvalJation , ou celui de marcher à lui. Le duc d'Orléans fut du dernier sentiment ; mai» le maréchal de Marchin montra un ordre du roi par lequel on devoit déférer à son avis en, cas d'action ; et cet avis contraire à celui du duc d'Orléans fut malheureusement suivi.... | |
 | Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 598 pàgines
...lignes de cifcouvallation , ou celui de marcher à lui. Le duc d'Orléans fut du dernier sentiment ; mais, le maréchal de Marchin montra un ordre du roi , par lequel on de\"oit déférer à son avis en: ORS. l'action ; etcet avis, contraire à celui du duc d'Orléans,... | |
 | François-Xavier Feller - 1828 - 504 pàgines
...lignes de circonvallation , ou celui de marcher à lui. Le duc d'Orléans fut du dernier sentiment; mais le maréchal de Marchin montra un ordre du roi , par lequel on devait, en cas d'action, attendre l'ennemi dans les lignes, qui étaient trop étendues pour être... | |
 | François-Xavier Feller - 1836 - 656 pàgines
...lignes de circonvallation , ou celui de marcher à lui. Le duc d'Orléans fut du dernier sentiment ; mais le maréchal de Marchin montra un ordre du roi , par lequel on devait , en cas d'action , attendre l'ennemi dans les lignes , qui étaient trop étendues pour être... | |
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... trop étendues pour être bien gardées; il y eut un quartier forcé : le duc d'Orléans y accourut, fut blessé de deux coups de feu , et obligé de se retirer. 