 | Pierre Joseph A. Roussel - 1815 - 342 pàgines
...réveillé ! Je me suis retrouvé dans mon cachot Lucileî Lucile! ô ma chère Lucile ! où es-tu? Quand j'ai aperçu , dans le jardin, ta mère, un...barreaux. J'ai joint les mains, comme implorant sa pitié. J'ai vu sa douleur, à son mouchoir et à son voile, qu'elle a baissé, ne pouvant tenir à ce spectacle.... | |
 | Camille Desmoulins - 1825 - 442 pàgines
...dans mon tombeau : Lucile! Lucile! ô ma chère Lucile, où es-tu? (là on remarqué la trace d'une larme.) Hier au soir j'ai eu un pareil moment, et...j'en suis bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa douleus ( ici encore une trace de larmes), à son mouchoir et à son voile qu'elle a baissé, ne pouvant... | |
 | Camille Desmoulins - 1825 - 412 pàgines
...criant dans mon tombeau : Lucile! Lucile! 6 ma chère Lucile, où es-tu? (Ici on remarque la trace d'une larme.") Hier au soir j'ai eu un pareil moment, et mon cœur s'est également fendu quand j'ai apercu , dans le jardin , ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les barreaux ;... | |
 | Camille Desmoulins - 1838 - 444 pàgines
...dans mon tombeau : Lucile ! Lucile! orna chère Lucile, on es-tu?... (ici on remarque la trace d'une larme}. Hier au soir j'ai eu un pareil moment, et...comme implorant sa pitié , elle qui gémit, j'en suis hien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa douleur ( ici encore une trace de larmes), à son mouchoir... | |
 | E. Lairtullier - 1840 - 432 pàgines
...s'est également fendu quand j'ai aperçu ta mère dans le jardin. Un mouvement machinal m'a jelé à genoux contre les barreaux; j'ai joint les mains comme implorant sa pilié , elle qui gémit, j'en suis bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa douleur à son mouchoir... | |
 | Alphonse de Gisors - 1847 - 284 pàgines
...j'ai sangloté en criant dans » mon tombeau : Lucile ! Lucile ! ô ma chère Lucile, où » es-tu? Hier au soir j'ai eu un pareil moment, et mon cœur...genoux contre » les barreaux ; j'ai joint les mains implorant sa pitié, elle » qui gémit, j'en suis bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa » douleur... | |
 | Alphonse de Gisors - 1847 - 302 pàgines
...j'ai sangloté en criant dans » mon tombeau : Lucile ! Lucile ! o ma chère Lucile, où » es-tu ? Hier au soir j'ai eu un pareil moment, et mon cœur...genoux contre » les barreaux ; j'ai joint les mains implorant sa pitié , elle » qui gémit, j'en suis bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa •n... | |
 | Alphonse Esquiros - 1847 - 494 pàgines
...ou plutôt j'ai sangloté, en criant dans mon tombeau : Lucile! Lucile, ma chère Lucile! où es-tu? Hier au soir, j'ai eu un pareil moment, et mon cœur s'est également fendu, quand j'ai aperçu ta mère dans le jardin. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les barreaux; j'ai joint... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1847 - 622 pàgines
...tombeau : Lucile ! « Lucile ! ô ma chère Lucile ! où es-tu? » (Ici on remarque la trace d'une larme.) « Hier au soir , j'ai eu un pareil moment , et mon cœur u s'est également fendu quand j'ai aperçu dans le jardin ta « mère. Un mouvement machinal m'a jeté... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1848 - 406 pàgines
...mon tombeau : Lucile ! Lucile ! ù » ma chère Lucile! où es-tu? » Ici on remarque la trace d'une larme. ) « Hier au soir, j'ai eu un pareil moment,...fendu quand j'ai aperçu dans » le jardin ta mère. Va mouvement machinal m'u » jeté à genoux contre les barreaux ; j'ai joint les » mains comme implorant... | |
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Hier au soir, j'ai eu un pareil moment , et mon cœur s'est également fendu quand j'ai aperçu dans le jardin ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les barreaux, j'ai joint les mains comme implorant sa pitié, elle qui gémit, j'en... 
