ptie. Un sermon à la villeJ. Cherbuliez, 1854 |
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Aigues-Mortes allait allez Antoine Court assez aurait avaient avez avez-vous Bible Bridaine brûler c'était catholique cent chose chrétien cœur concile de Trente condamné croire crois croyez d'Alembert d'autres Damilaville demander Desmarêts devant Diderot Dieu dire dis-je disait dit-il duc de Choiseul édits Église enfin Est-ce êtes eût Faillet frère fût Gebelin gens Grimm Helvétius homme incrédules j'ai j'avais jamais jésuites jour l'abbé l'avait l'édit l'Église l'évêque laisser livre longtemps Louis XIV madame madame de Pompadour main Majesté malheureux mandements marêts Marie Durand marquise Meaux ment messieurs mieux mille ministre monde monsieur Morellet mort n'avait n'en n'était Narniers Nîmes pape parler passé pauvre peine penser père pouvait prêcher presque prêtre protestants Qu'est-ce qu'un Rabaut raison religion reprit-il reste Richelieu rien s'en s'était s'il saint sais salon savez sentiments serait sermon seul siècle Sire soldats sorte trouvé venait veux voilà voix Voltaire voulait vrai yeux
Passatges populars
Pàgina 317 - A LA vue d'un auditoire si nouveau pour moi, il semble, mes frères, que je ne devrais ouvrir la bouche que pour vous demander grâce en faveur d'un pauvre missionnaire dépourvu de tous les talents que vous exigez quand on vient vous parler de votre salut. J'éprouve cependant aujourd'hui un sentiment différent ; et, si je suis humilié, gardez-vous de croire que je m'abaisse aux" misérables inquiétudes de la vanité.
Pàgina 317 - C'est donc uniquement devant votre Dieu et le mien que je me sens pressé dans ce moment de frapper ma poitrine. Jusqu'à présent j'ai publié les justices du Très-Haut dans des temples couverts de chaume.
Pàgina 317 - ... qu'il fallait faire retentir la parole sainte dans toute la force de son tonnerre , et placer avec moi dans cette chaire , d'un côté la mort qui vous menace, et de l'autre mon grand Dieu qui vient vous juger. Je tiens aujourd'hui votre sentence à la main. Tremblez donc devant moi, hommes superbes et dédaigneux qui m'écoutez. La nécessité du salut , la certitude...
Pàgina 318 - ... les sujets dont je viens vous entretenir , et que j'aurais dû sans doute réserver pour vous seuls. Et qu'ai-je besoin de vos suffrages, qui me damneraient peutêtre sans vous sauver? Dieu va vous émouvoir, tandis que son indigne ministre vous parlera ; car j'ai acquis une longue expérience de ses miséricordes.
Pàgina 216 - Sa Majesté veut qu'on fasse sentir les dernières rigueurs à ceux qui ne voudront pas se faire de sa religion ; et ceux qui auront la sotte gloire de vouloir rester les derniers, doivent être poussés jusqu'à la dernière extrémité.
Pàgina 101 - Je n'ai voulu attaquer aucune des vérités du christianisme, que je professe sincèrement dans toute la rigueur de ses dogmes et de sa morale, et auquel je fais gloire de soumettre toutes mes pensées, toutes mes opinions et toutes les facultés de mon être, certain que ce qui n'est pas conforme à son esprit ne peut l'être à la vérité.
Pàgina 318 - ... l'éternité ! voilà les sujets dont je viens vous entretenir , et que j'aurais dû sans doute réserver pour vous seuls. Et qu'ai-je besoin de vos suffrages, qui me damneraient peutêtre sans vous sauver?
Pàgina 163 - Sire, ne différez pas d'ôter à l'erreur l'espoir d'avoir parmi nous des temples et des autels ; achevez l'ouvrage que Louis le Grand avait entrepris et que Louis le Bien-aimé a continué.
Pàgina 103 - Mes anges, si j'avais cent mille hommes, je sais bien ce que je ferais ; mais comme je ne les ai pas , je communierai à Pâques , et vous m'appellerez hypocrite tant que vous voudrez.
Pàgina 7 - On dit que l'abbé Roquette Prêche les sermons d'autrui : Moi, qui sais qu'il les achète, Je soutiens qu'ils sont à lui.