Études et leçons sur la révolution françaiseF. Alcan, 1911 |
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10 août 18 brumaire Adrien du Port Auguste Comte AULARD avaient Bacourt Bibl Bonaparte Buchez c'était Carnot catholicisme catholiques Cinq-Cents citoyens clergé Comité de salut Comité de surveillance commissaires Commune Concordat Conseil exécutif constitutionnel Consulat Convention copie Corps législatif coup d'État Danton déclare décret députés dictature dire Directoire discours duc de Broglie éditeur églises évêques Fabre d'Églantine floréal fructidor gallicane général Girondins gouvernement Grégoire homme Jacobins justice l'an VIII l'Assemblée législative l'authenticité des Mémoires l'État l'histoire laissé liberté lois Louis XVIII maire maison d'Arenberg manuscrit Marat massacres Mémoires de Talleyrand ment ministre Mme Roland Moniteur Mortimer Ternaux nation nationale pape patrie patriotes peuple politique positive premier Consul prêtres prisonniers proclamation publique réfractaires religion républicains République Révolution française Robespierre royalistes salut public séance semble Sénat sentiment séparation de l'Église seulement Siéyès Stanislas de Girardin surtout Système de politique Talleyrand théophilanthropes thermidor tion tribunal Tribunat Voltaire vote
Passatges populars
Pàgina 130 - Je reconnais que l'universalité des citoyens français est le souverain, et je promets soumission et obéissance aux lois de la République.
Pàgina 67 - Hier! fut un jour sur les événements duquel il faut peut-être laisser un voile. Je sais que le peuple, terrible dans sa vengeance, y porte encore une sorte de justice ; il ne prend pas pour victime tout ce qui se présente à sa fureur : il la dirige sur ceux qu'il croit avoir été trop longtemps épargnés par le glaive de la loi, et que le péril des circonstances lui persuade devoir être immolés sans délai.
Pàgina 51 - Vous savez que la garnison a juré d'immoler le premier qui proposerait de se rendre. Une partie du peuple va se porter aux frontières, une autre va creuser des retranchements, et la troisième, avec des piques, défendra l'intérieur de nos villes. Paris va seconder ces grands efforts. Les commissaires de la Commune vont proclamer d'une manière solennelle l'invitation aux citoyens de s'armer et de marcher pour la défense de la patrie.
Pàgina 75 - ... sur lesquelles tout bon citoyen a gémi, je dirai, moi, que, si un tribunal eût alors existé, le peuple auquel on a si souvent, si cruellement reproché ces journées, ne les aurait pas ensanglantées ; je dirai, et j'aurai l'assentiment de tous ceux qui ont été les témoins de ces mouvements, que nulle puissance humaine n'était dans le cas d'arrêter le débordement de la vengeance nationale.
Pàgina 50 - ... il n'est plus temps de discourir, il faut piocher la fosse de nos ennemis; ou chaque pas qu'ils font en avant, pioche la nôtre.
Pàgina 263 - Le Sénat conservateur réélit le citoyen Napoléon Bonaparte premier consul de la République française pour les dix années qui suivront immédiatement les dix ans pour lesquels il a été nommé par l'article 39 de la Constitution. » 3. Le présent sénatus-consulte sera transmis par un message au Corps législatif , au Tribunal et aux consuls de la République. »iSYgrtéTRONCiîET,président;CHASSET, SERRURIER, secrétaires.
Pàgina 131 - Les lois de 1792 et 1793 contre les prêtres sujets à la déportation et à la réclusion...
Pàgina 55 - Si le glaive de la justice frappe enfin les machinateurs et les prévaricateurs, on ne m'entendra plus parler d'exécutions populaires, cruelle ressource que la loi de la nécessité peut seule commander à un peuple réduit au désespoir, et que le sommeil des lois justifie toujours (1).
Pàgina 273 - Une statue de la paix, tenant d'une main le laurier de la victoire et de l'autre le décret du sénat, attestera à la postérité la reconnaissance de la nation.
Pàgina 120 - La loi ne reconnaît aucun ministre du culte ; nul ne peut paraître en public avec les habits, ornements ou costumes affectés à des cérémonies religieuses.