| Raynouard (M., François-Just-Marie) - 1814 - 370 pàgines
...Sorbonne prit parti en faveur du duc ; et, par sa délibération du i6 décembre iSSj, elle prononça, « qu'on pouvait ôter le gouvernement « aux princes qu'on ne trouvait pas tels qu'ils « doivent être, comme l'onôte l'administration « au tuteur que l'on tient pour suspect.... | |
| Jacques Antoine Dulaure - 1823 - 640 pàgines
...sceptres , et « couronnes , firent en leur collége, le 16 du présent mois , un « résultat secret qu'on pouvait ôter le gouvernement aux « princes qu'on ne trouvait pas tels qu'il fallait. » Le même écrivain, sous le 16 janvier i589, dit encore : «En « ce incsme temps la Sorbonne et... | |
| Jacques-Antoine Dulaure - 1825 - 680 pàgines
...sceptres , et couronnes , firent » .en leur collège, le 16 du présent mois, un résultat se* » cret qu'on pouvait ôter le gouvernement aux princes » qu'on ne trouvait pas tels qu'il fallait. « Le même écrivain, sous le 16 janvier l58t), dit encore: <c En ce mesme temps la Sorbonne et la... | |
| Eugène Dubarle - 1829 - 408 pàgines
...armes, et l'Université qui deux ans auparavant ( i6 décembre i587) avait rendu un décret portant «.qu'on pouvait ôter le gouvernement aux princes...« qu'on ne trouvait pas tels qu'il fallait , comme l'ad« ministration au tuteur qu'on avait pour suspecti,» dévouée alors tout entière à la ligue... | |
| Félix Ragon - 1829 - 608 pàgines
...arrêta, dans une assemblée secrète , que l'on pouvait ôter le gouvernement aux princes que l'on ne trouvait pas tels qu'il fallait , comme l'administration au tuteur qu'on avait pour suspect. L'audace des ligueurs ne connaissait plus de frein, et s'accroissait chaque jour par l'impunité. Leurs... | |
| Pierre Sébastien Laurentie - 1841 - 600 pàgines
...cette irruption de passions mauvaises. Dans une assemblée secrète elle avait posé en principe : « qu'on pouvait ôter le gouvernement aux princes qu'on...l'administration au tuteur qu'on avait pour suspect. » C'était une énormité nouvelle en France. Elle venait couronner la politique qui depuis Philippe... | |
| Charles-Jean-François Hénault - 1842 - 1070 pàgines
...Arrêté étrange de la Sorbonne, que Г on pouvait oler le gouvernement aux princes que l'on ne pouvait pas tels qu'il fallait, comme l'administration au tuteur qu'on avait pour suspect. (Daniel.) Les Feuillans , fondés l'année précédente par Jean de la Barrière , s'établissent à... | |
| Philippe Le Bas - 1843 - 1004 pàgines
...ligue l'accueillit par des moqueries et des injures. « La Sorbonne , dit M. Lavallée , osa décréter qu'on pouvait ôter le gouvernement aux princes qu'on ne trouvait pas tels qu'il fallait ; on demandait le bannissement ou la mort des mignons et des ministres, infâmes politiques qui se... | |
| Henri Martin - 1844 - 562 pàgines
...la nouvelle de la capitulation accordée aux reîtres, la Sorbonne courroucée décida secrètement qu'on pouvait ôter le gouvernement aux princes qu'on...l'administration au tuteur qu'on avait pour suspect (L'Estoile, journal de Henri III, p. 254) (46 décembre). Le 25 décembre, Henri III fit à Paris une... | |
| Eugène Dubarle - 1844 - 798 pàgines
...armes, et l'Université qui deux ans auparavant ( 16 décembre i587) avait rendu un décret portant «•qu'on pouvait ôter le gouvernement aux princes...« qu'on ne trouvait pas tels qu'il fallait , comme l'ad« ministration au tuteur qu'on avait pour suspect ',» dévouée alors tout entière à la ligue... | |
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