Histoire de la Révolution française, Volum 10Langlois et Leclercq, 1858 |
Altres edicions - Mostra-ho tot
Frases i termes més freqüents
¹ Moniteur accusés avaient Barère bespierre Biblioth Billaud Billaud-Varenne Bourdon de l'Oise Brissot British Museum c'était Camille Desmoulins Chabot chap Charles Nodier chose Clootz Collot Collot-d'Herbois Comité de salut Comité de sûreté Condorcet conspirateurs Convention coupables Couthon crime d'Hébert Danton Daubigny déclara décret Delaunay dénoncé Déposition discours Dumouriez ennemis eût Fabre d'Églantine femme floréal Fouché Fouquier-Tinville Fréron frimaire germinal guillotine Hébertistes Hérault de Séchelles hist homme Ibid jour juges jurés justice Kléber l'accusé l'armée l'Assemblée l'Hist Lacroix Lafayette Laurent Lecointre lbid Lecointre lettre Levasseur liberté Lucile madame Matton membres Mémoires ment Merlin de Thionville Michelet mort Moyse Bayle n'était nivôse numéro Pâris parl parlem paroles patriotes peuple Philippeaux politique prison procès de Fouquier-Tinville Rapport républicains République reste Révolution Robespierre Rochejaquelein Ronsin Saint-Just salut public Savary Séance des Jacobins sûreté générale Tallien Terreur thermidor tion Tribunal révolutionnaire tribune tyrans Vendéens ventôse Vieux Cordelier Westermann XXXIV
Passatges populars
Pàgina 440 - L'existence de la Divinité puissante, intelligente, bienfaisante, prévoyante et pourvoyante, la vie à venir, le bonheur des justes, le châtiment des méchants, la sainteté du contrat social et des lois...
Pàgina 440 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Pàgina 442 - Divinité n'existe pas, ô toi qui te passionnes pour cette aride doctrine, et qui ne te passionnas jamais pour la patrie? Quel avantage trouves-tu à persuader à l'homme qu'une force aveugle préside à ses destinées et frappe au hasard le crime et la vertu, que son âme n'est qu'un souffle léger qui s'éteint aux portes du tombeau?
Pàgina 482 - S'il existe des preuves, soit matérielles, soit morales, indépendamment de la preuve testimoniale, il ne sera point entendu de témoins, à moins que cette formalité ne paraisse nécessaire, soit pour découvrir des complices, soit pour d'autres considérations majeures d'intérêt public.
Pàgina 443 - Je n'ai pas besoin d'observer qu'il ne s'agit pas ici de faire le procès à aucune opinion philosophique en particulier, ni de contester que tel philosophe peut être vertueux, quelles que soient ses opinions et même en dépit d'elles, par la force d'un naturel heureux ou d'une raison supérieure.
Pàgina 479 - Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître : il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Pàgina 202 - Où sont-ils, les marins sombres dans les nuits noires? O flots, que vous savez de lugubres histoires! Flots profonds redoutés des mères à genoux! Vous vous les racontez en montant les marées, Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées Que vous avez le soir quand vous venez vers nous!
Pàgina 217 - Suspect Enfin s'était-on acquis de la réputation à la guerre ; on n'en était que plus dangereux par son talent. Il ya de la ressource avec un général inepte. S'il est traître, il ne peut pas si bien livrer une armée à l'ennemi qu'il n'en revienne quelqu'un. Mais un officier du mérite de Corbulon ou d'Agi icola, s'il trahissait, il ne s'en sauverait pas un seul.
Pàgina 210 - Mais que cette victoire même leur laisse de douleur , en pensant qu'elle a pu être disputée si long-temps dans les Jacobins! La victoire nous est restée , parce qu'au milieu de tant de ruines de réputations colossales de civisme , celle de Robespierre est debout ; parce qu'il a donné la main à son émule de patriotisme , notre président perpétuel des anciens Cordeliers...
Pàgina 364 - Mauvais citoyen, tu as conspiré : faux ami, tu disais, il ya deux jours, du mal de Desmoulins, instrument que tu as perdu , et tu lui prêtais des vices honteux ; méchant homme, tu as comparé l'opinion publique à une femme de mauvaise vie, tu as dit que l'honneur était ridicule ; que la gloire et la postérité étaient une sottise. Ces maximes devaient te concilier l'aristocratie; elles étaient celles de Catilina. Si Fabre est innocent, si d'Orléans, si Dumouriez furent innocents, tu l'es...