| François Arnaud - 1808 - 518 pàgines
...puis dire comme Montaigne : à notre première rencontre nous nous trouvâmes si pris , si cogncus , si obligés entre nous , que rien dès lors ne nous fut si proche que l'un à l'autre. En i7 54, quelques gensde lettres avaient conçu le projet de faire un journal uniquement consacré... | |
| Marie Jacques Joseph Victorin Fabre - 1812 - 104 pàgines
...un penchant mutuel nous unissait d'avance ; •à notre première rencontre , nous nous trouvâmes si connus, si obligés entre nous, que rien, dès 'lors ne nous fut si proche que nous l'étions l'un à l'autre. Oui ! cette union si tendre ne semblait pas commencer ; elle semblait... | |
| Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - 760 pàgines
..., dit-il ensuite de La Boétie , avant que de » nom être vus Nous nous embrassions par nos noms. Et à notre » première rencontre , nous nous trouvâmes si pris , si connus , si obli» gés entre nous , que rien dès-lors ne nous fut si proche que l'un à » l'autre Ce n'est pas... | |
| Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - 768 pàgines
..., dit-il ensuite de La Boétie , avant que de » nous être vus Nous nous embrassions par nos noms. Et à notre » première rencontre , nous nous trouvâmes si pris , si connus , si obli» gés entre nous , que rien dès— lors ne nous fut si proche que l'un à .i l'autre Ce n'est... | |
| Jean Mamert Cayla - 1839 - 426 pàgines
...» hazard en une grande fête et compaignie de ville , » nous nous trouvâmes si prias, si cognus, si obligés » entre nous, que rien dès lors ne nous fut si proche » que l'un à l'autre. » L'ancien Ménander, disait celui-là heureux qui » avait pu rencontrer l'ombre d'un ami; il avait... | |
| F T - 1848 - 410 pàgines
...notre première rencontre, qui fut par hasard en une grande fête et compagnie de ville, nous noua trouvâmes si pris, si connus, si obligés entre nous,...dès lors ne nous fut si proche que l'un à l'autre. Il écrivit une satire Latine excellente, qui est publiée, par laquelle il excuse et explique la précipitation... | |
| 1849 - 800 pàgines
...noms et à notre première rencontre, qui fut « par hazard en une grande feste et compagnie de ville, nous nous « trouvâmes si pris, si connus, si obligés...lors « ne nous fut si proche que l'un à l'autre. Il escrivit une pièce latine i excellente, qui. est publiée, par laquelle il excuse et explique la... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1856 - 438 pàgines
...noms; et à notre première rencontre qui fut par hasard en une grande fête et compagnie de ville, nous nous trouvâmes si pris, si connus, si obligés entre nous, que rien dès lors ne nous fût si proche que l'un à l'autre. » Cet attrait intérieur qui les porta ainsi tout d'abord à une... | |
| Léon Jacques Feugère - 1859 - 538 pàgines
...rencontre, qui fut par hasard en une grande fête et compagnie de ville, nous nous trouvâmes si près, si connus , si obligés entre nous , que rien dès lors ne nous fut si proche que l'un à l'autre (3). » Ainsi ces deux cœurs, qui devaient encore s'affiner entre eux, n'en formèrent aussitôt qu'un... | |
| 1860 - 646 pàgines
...vus... et, à notre première rencontre, qui fut par hasard en une grande fête et compagnie de ville, nous nous trouvâmes si pris, si connus, si obligés...dès lors ne nous fut si proche que l'un à l'autre. » Qui a mieux senti que Montaigne la douceur de vivre dans une autre âme? Il avait connu la Boétie... | |
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