| Jules Michelet - 1800 - 924 pàgines
...d'horreur et de douleur. Enfin, il fit l'effort de dire : « Sire, ce dernier outrage est encore un trait de ressemblance entre Votre Majesté et le Dieu qui va être sa récompense. » Il leva les yeux au ciel, ne résista plus : « Faites ce que vous voudrez, dit-il, je boirai le... | |
| Claude François Beaulieu - 1803 - 452 pàgines
...yeux sur lui, et lui dit : Sire , - cette nouvelle humiliation est un trait de ressemblance de plus , entre votre majesté et le Dieu qui va être sa récompense. Alors il présenta lui-même ses mains auxbourreatix, seulement il leur dit : qu'ils n'avaient pa$ besoin... | |
| Henry Essex Edgeworth de Firmont - 1815 - 236 pàgines
...Sire , » lui dis-je avec larmes, « dans ce nou« vel outrage , je ne vois qu'un der« nier trait de ressemblance entre « votre Majesté et le Dieu qui va être « sa récompense. » A ces mots , il leva les yeux au ciel avec une expression de douleur que je ne saurais jamais rendre,... | |
| Henry Essex Edgeworth de Firmont, C. Sneyd Edgeworth - 1815 - 238 pàgines
...regarder: " Sire," lui dis-je avec larmes, " dans ce nouvel outrage, je ne vois qu'un der" nier trait de ressemblance entre votre Majesté et le " Dieu qui va être sa récompense." A ces mots, il leva les yeux au ciel, avec une expression de douleur que je ne saurais jamais rendre.... | |
| Louis-Pierre Anquetil - 1818 - 400 pàgines
...de la repousser. « Sire , lui dit « l'abbé Edgeworth , c'est un trait de plus de ressem« blance entre votre majesté et le Dieu qui va être sa «...récompense. » Alors Louis les présenta lui-même , et (1) Voyez à la fin du volume. monta ensuite d'un pas ferme sur l'échafaud. Ce fut dans ce moment... | |
| Vincent Lombard de Langres - 1823 - 352 pàgines
...regarder : « Sire, lui » dis-je, avec larmes, dans ce dernier outrage w je ne vois qu'un dernier trait de ressemblance » entre votre majesté et le dieu qui va être sa « récompense » A ces mots, il leva les yeux au « ciel avec une expression de douleur que je ne » saurais jamais... | |
| Jean Baptiste C. Hanet-Cléry - 1823 - 356 pàgines
...: « Sire , lui dis-je , » avec larmes , dans ce nouvel outrage, je ne » vois qu'un dernier trait de ressemblance » entre Votre Majesté et le Dieu qui va être » sa récompense. » A ces mots , il leva les yeux au ciel avec une expression de douleur que je ne saurais jamais rendre.... | |
| Cléry (M.) - 1825 - 368 pàgines
...regarder : « Sire, lui dis-je avec » larmes, dans ce nouvel outrage je ne vois » qu'un dernier trait de ressemblance entre votre » Majesté et le Dieu qui va être sa récompense. » A ces mots, il leva les yeux au ciel avec une expression de douleur que je ne saurais jamais rendre.... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1825 - 372 pàgines
...regarder : « Sire, lui dis-je avec M larmes, dans ce nouvel outrage je ne vois » qu'un dernier trait de ressemblance entre votre » Majesté et le Dieu qui va être sa récompense. » A ces mots , il leva les yeux au ciel avec une expression de douleur que je ne saurais jamais rendre.... | |
| 1825 - 358 pàgines
...regarder : « Sire, lui dis-je avec » larmes, dans ce nouvel outrage je ne vois » qu'un dernier trait de ressemblance entre votre » Majesté et le Dieu qui va être sa récompense. » A ces mots, il leva les yeux au ciel avec une expression de douleur que je ne saurais jamais rendre.... | |
| |