Histoire des Mongols, Volum 3

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Passatges populars

Pàgina 293 - des éclairs; nos sabres, des coups de foudre; « nos poitrines, dures comme des rocs; nos « guerriers , au nombre des grains de sable. « Qui veut nous combattre s'en repent, qui « nous demande grâce trouve son salut. Notre « empire est respecté; nos .vassaux sont en « sûreté. Si vous recevez notre loi, entre « nous tout sera commun. Si vous résistez, « si vous persistez dans votre opiniâtreté, ne « vous en prenez alors qu'à vous même.
Pàgina 70 - J'étais en route, avec dix-sept personnes; nous vîmes arriver un cavalier tartare qui nous ordonna de nous lier les uns aux autres les mains derrière le dos. Mes compagnons se mirent en devoir de lui obéir; je leur dis : Cet homme est seul, il faut le tuer et nous enfuir. — Nous avons trop peur, répondirent-ils.
Pàgina 551 - ... cent vingt dinars. Sur ces entrefaites survint Argoun, qui se plaignit de ce qu'on ne l'avait pas attendu pour la cérémonie de l'inauguration. Ahmed lui montra beaucoup d'égards, et lui remit de sa main vingt balischs d'or , qu'il lui avait réservés. Ce fut alors que Argoun et Coungcourataï se lièrent d'une étroite amitié, qu'ils se garantirent par des serments mutuels , dans l'Ordou de Touctaï Khatoun , l'une des veuves d'Abaca (i). Le premier soin d'Ahmed fut de manifester sa profession...
Pàgina 245 - homes coper les testes , et puis fist assaillir la ville, et la prist et le calife aussi. Pour couvrir sa desloiauté, et pour geter le blasme sur le calife de la prise de la ville que il avoit...
Pàgina 155 - ... digne de connaître les mystères, il fixait son attention sur les ouvrages des philosophes, qui traitent des sciences physiques et métaphysiques, de la théologie spéculative, et d'autres branches de la philosophie. Quand il voyait que ces matières étaient devenues familières à l'initié, il écartait le dernier voile, et lui disait : « Ce qu'on énonce de la créa« tion et du principe , désigne allégoriquece ment l'origine et les changements des sub
Pàgina 548 - Après la mort d'Abaca , les Khatounes , les princes du sang et les généraux présents à Méraga, s'assemblèrent pour rendre les derniers devoirs au monarque défunt, et délibérer sur le choix de son successeur. Le prince Argoun , qui avait été mandé par son père, reçut en route la nouvelle de sa mort, et se rendit à Méraga, où les Khatounes et les princes du sang lui présentèrent la coupe, suivant l'usage. Le général Boucaï , dévoué à ce jeune prince, ordonna aux officiers...
Pàgina 300 - ... donnement d'une mouche ; car tu as payé « d'ingratitude ton bienfaiteur et tu as mérité « un sévère châtiment. Certes, nous tiendrons « registre de, leurs discours , et nous leur en fêta rons porter la peine avec usure (2).
Pàgina 150 - Après avoir reçu son serment le pontife lui demandait une rétribution, dont il fixait lui-même la valeur, pour prix de ce qu'il allait lui enseigner. Il ne le faisait passer d'un degré à l'autre qu'après s'être assuré que l'adepte s'était bien inculqué dans l'es•prit , les notions qui lui avaient été communiquées. Il commençait par lui dire que Dieu a, de tout temps, confié le soin d'établir et de conserver son culte à des Imams, ses élus., qui doivent être les seuls guides...
Pàgina 198 - Il reçut l'ordre de l'examiner. Le vézir en tira les Corans et les autres livres de prix, ainsi que les instruments d'astronomie, et fit brûler tous les manuscrits qui ne traitaient que des dogmes et des opinions de la secte (i).
Pàgina 245 - Et il li demanda se il les amoit bien ; et il respondi que oyl. « Puisque tu les amoies tant fist le roy des » Tartarins , or pren de celle part que tu vourras • et manju. » Le Calife H respondi que il ne pourrait, car ce n'estoie pas viande que l'en peust manger.

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