Imatges de pàgina
PDF
EPUB

siege regulier que l'on aye veu en France. I, 206, 13. Il me semble qu'il n'y a plus dans le monde des personnes conversables, que celles que j'ay veuës au dernier voyage que j'ay eu l'honneur de faire aveque vous. I, 17, 10. La derniere (lettre) que j'ay receuë, m'a donné du repos. I, 347, 16. Ferner: I, 257, 25; I, 444, 7; I, 462, 17; II, 101, 29.

7) zweimal in einem Temporalsatze nach devant que (neufrz. avant que) der Indicativ, während sich sonst immer, wie im gegenwärtigen Sprachgebrauche, der Conjunctiv findet.

Je pensois que la Lettre que je vous envoye avec celle-cy, arriveroit aussitost que vous et qu'elle attendroit, longtemps chez M... devant qu'il vous souvint d'elle. I, 439, 12. Il parle sa langue: c'est assez pour cela de dire, qu'il s'appelle Guzman: et qu'il est de cette illustre souche qui estoit celebre en Espagne devant qu'il y eut des Roys en Castille. II, 126, 9.

b) In Concessivsätzen

a) mit dem Conjunctionalpronomen quelque.. que fünfmal der Indicativ, wo jetzt der Conjunctiv stehen würde (Mätzner, Gram. 2 S. 348). Auch in der früheren Sprache waren beide Modi üblich (Toennies, La synt. de Commines S. 37).

Mais quelque plaisir que j'ay d'avoir de vos nouvelles, j'avouë que quand j'ay veu Robineau, j'ay eu quelque frayeur de penser que je n'avois plus de pretexte de demeurer icy. I, 35, 27. Et quelques coups mortels que j'ay je croy que mon ame ne se peut destacher de mon coeur. I, 441, 2. Et quelque humble que vous me voyez à cette heure, je pourrois estre assez hardy pour vous combattre. I, 134, 8. Je vous prie, pourtant, en quelque humeur que vous la voyez, de ne me laisser pas si seul avec elle. I, 437, 14. Et quelque permission que j'en aurois euë de vous, je n'aurois pas encore esté assez hardy pour m'en servir, si je n'avois une autre avanture extraordinaire à vous conter. I, 6, 9.

P) mit quoique sechsmal der Indicativ anstatt des Conjunctivs. Ménage (S. 159), der den Conjunctiv nach quoique forderte, weist darauf hin, dass auch Vaugelas in der ersten Ausgabe der „Remarques" S. 146 einmal den Indicativ gesetzt habe.

Depuis je n'ay eu aucun desplaisir, quoy que j'ay eu beaucoup de mal. I, 41, 20. Vous ne la (la faveur) deviez pas discontinuër, quoy que j'ay tesmoigné de manquer à la reconnoistre. I, 61, 3. Quoy que j'ay joué fort étourdiment, je ne me suis pas pourtant si fort emporté. I, 295, 13. Elle aymoit moins la jeune Comtesse, à cause qu'elle luy estoit destinée: et les devoirs, que par force il luy rendoit, quoy que ce fut plus froidement, que de coustume, ne laissoient pas de la toucher. II, 66, 31.

In den beiden folgenden Beispielen ist bemerkenswerth, dass zuerst der Indicativ und dann der Conjunctiv steht.

Quoy que j'ay accoustumé de l'employer bien mal, et que j'en sois fort mauvais ménager: je pense avoir mis à couvert pour tousjours ce que vous y avez. I, 234, 10. Quoy que l'on devroit estre accoustumé à vous voir faire des actions glorieuses, et qu'il y ait plus de quinze ans que vous faites parler de vous d'une mesme sorte, je ne me puis empescher que je ne sois touché toutes les fois que j'entens que vous avez rendu quelque nouveau témoignage de vostre valeur. I, 260, 4.

c) In Finalsätzen

a) nach den Zeitwörtern, die eine Willensäusserung ausdrücken, vouloir, il faut und trouver mauvais

je einmal der Indicativ für den jetzt gebräuchlichen Conjunctiv (Mätzner, Gram 2. S. 340 u. 341)1).

Mais je voudrois qu'au lieu qu'il a aymé jusqu'icy la plus douce personne du monde, il se fut adressé à cette autre que vous sçavez. I, 301, 23. Mais pource que ce m'est une grande marque de vostre amitié et qu'il faut que vous m'aymez beaucoup. I, 89, 192). Mais quand cette passion seroit aussi injuste que vous dites, vous ne devriez pas me reprocher une injustice que je fais pour l'amour de vous, ni trouver mauvais que j'ay une trop grande passion de vous voir. I, 86, 25.

P) nach den Verben der Affecte

être bien aise, étre fâché, il me fâche, avoir regret, c'est dommage, s'étonner, avoir peur und craindre

neben dem Conjunctiv zuweilen auch der Indicativ, der früheren Schriftstellern ebenfalls geläufig war (Lidforss, Observations ... de Ronsard et de ses Contemporains. S. 49), heute jedoch gegen die Regel ist (Mätzner, Gram. 2 S. 342 u. 340). 3)

Au reste, Monseigneur je suis bien aise que vous avez un Commis. I, 378, 30. Je croy que vous n'estes pas faschée que je l'ay (cette esperance) puisque vous voulez bien que j'espere tout ce que je dois esperer. I, 442, 7. Je suis fasché que je ne pris garde à vous quand vous mangiez ce biscuit de canelle à Gentilly. I, 222, 25. Mais je suis fasché que cela m'ostera quelque temps le moyen de voir de vos lettres. I, 219, 24. Il me fasche seulement que si j'y meurs, Mademoiselle de Rambouillet aur a du plaisir à dire qu'il y avoit desja trois ans qu'elle m'avoit predit que je mourrois dans quatre. I, 77, 15. J'ay bien du regret, sans mentir, que je n'ay esté à vostre entreveuë. I, 341, 19.

1) Beispiel 1 kann als eine Art syntaktischer Attraction an vorausgehendes qu'il a aymé betrachtet werden, in den beiden folgenden Beispielen wird eine wirkliche Thatsache constatirt.

2) Ubicini I, 122, 16... et qu'il faut que vous m'aimiez.

3) Ueberall steht der Indicativ, wenn das im Nebensatze Gesagte als

eine unzweifelhafte Thatsache hingestellt werden soll.

C'est dommage sans mentir, que vous ne courez le monde. I, 343, 5. C'est dommage que vous ne prenez plaisir plus souvent à faire du bien. I, 122, 7. C'est dommage que je n'ay veu aussi les carosses. I, 388, 21. Je m'estonne que vous me dites cela dans vostre lettre. I, 86, 32. Je m'estonne encore qu'elle n'a mis Chiquittico. I, 108, 22. Je m'estonne que vous n'en avez trouvé un meilleur. I, 159, 6. Vous ne vous eston nerez pas que j'ay de la peine à me relever apres estre tombé de si haut. I, 461, 24. Mais j'ay peur qu'il m'arrivera comme à celuy-là. I, 304, 26. J'esperois que nous reverrions un jour les vertus que je crains que nous ne trouverons plus desormais qu'en vous. I, 337, 22.

D. Infinitiv.

1. Die Anwendung des Acc. c. Inf. war ziemlich verbreitet im Mittelfrz, während das Altfrz. sich desselben viel seltener bediente (Diez, III3, 249) und auch im Neufrz. sein Gebrauch auf ganz bestimmte Fälle beschränkt ist.

Was den Gebrauch bei Voiture betrifft, so finden sich keine Constructionen, die nicht im Neufrz. erlaubt wären. 1)

Ueber den Infinitiv mit Präpositionen s. V. Präpositionen.

E. Participium Praesentis.

Im Altfrz. beschränkte sich die Veränderlichkeit des verbalen Part. Praes. auf die Bezeichnung des Numerus. Später trat das Femininzeichen, wenngleich nicht häufig, auf, während das Pluralzeichen selten fehlte (Toennies, La synt. de Com. S. 45; Glauning, Syntakt. Stud. z. Marot, S. 26). Nach Palsgrave (L'éclaircissement de la langue française par Jean Palsgrave, suivi de la grammaire de Giles du Guez, publiés pour la premiere fois en France par F. Génin. Paris 1852. S. 135) war das Part. im Plural veränderlich, jedoch eine weibliche Form erkennt er nicht an. Garnier und H. Estienne (Livet, La grammaire française et les grammairiens au XVIe siècle. Paris 1859. S. 322 u. 447) forderten die Veränderlichkeit in allen Fällen. Wieder anderer Ansicht war Vaugelas. Band III S. 57-58 spricht er zuerst von den Hilfsverben avoir und être und sagt: »Jamais ils ne sont participes quand ils font la fonction du verbe auxiliaire et qu'ils sont joints à un autre verbe, comme ayant été, ayant mangé, étant contraint, étant aimé. Ils sont toûjours gérondifs, et par consequent ils

1) Diez, III3, 250 führt aus Marot u. Rabelais noch Beispiele für den Gebrauch im früheren Sinne an, und selbst noch Montaigne zeigt Constructionen, die heute den guten Stil verletzen würden (Glauning, Versuch über die syntaktischen Archaismen bei Montaigne in Herrig's Archiv, Bd. 49, S. 337).

Französische Studien. I. 1.

2

ne reçoivent jamais d's, et ne peuvent avoir de pluriel, parce que les gérondifs sont indéclinables. D'où il s'ensuit que ceux qui écrivent, par exemple, les hommes ayans vú, les hommes étans contraints, comme font la plupart, n'écrivent pas bien. Il faut dire, les hommes ayant vú, les hommes étant contraints, sans s après ayant et etant, à cause qu'ils sont gérondifs. Diese zuerst von Vaugelas vertretene Ansicht ist heute noch giltig. S. 58-67 spricht er über das Part. Praes. anderer Verben und ist der Meinung, dass dasselbe im Plural Masculinum s erhalten müsse, während es auf ein weibliches Subject bezüglich, sowohl im Plural als auch im Singular als Gerundium zu betrachten und demnach unveränderlich sei.

»Die Regel, dass das Part. des Präsens unwandelbar sein müsse, sprachen zuerst Arnauld und Lancelot in der »Grammaire générale et raisonnée de Port-Royal (1660)« aus. Zwanzig Jahre später (1679) erklärte sich für dieselbe auch die Akademie. Die Autoren haben noch in der zweiten Hälfte des 17. Jh. die Flexion oft genug, z. B. Boileau (Sat. VI): Et plus loin des laquais l'un l'autre s'agaçants. Aber selbst zur Zeit Voltaire's stand der jetzige Sprachgebrauch hinsichtlich des Part. der Gegenwart noch nicht fest. Voltaire schrieb z. B. les trois quarts des enfants mourants en Moscovie de la petite vérole (Charles XII. L. 1); des effets appartenants au roi (L. III).< (B. Schmitz, I Supplement d. Encycl. d. philol. Stud. d. n. Sprachen. S. 42). >> Heute jedoch hat sich die Congruenz des Part. mit seinem Subjecte völlig verloren.« (Mätzner, Synt. I, 346).

1. Hinsichtlich des Part. von étre in Verbindung mit dem Part. Perf. finden sich bei Voiture zwei Beispiele des früheren Gebrauchs.

Cependant, je trouve estrange, qu'avec tant de raison que vous avez d'estre content, vous ne le puissiez estre, et que tous les Grands-hommes estants satisfaits de vous, il n'y ait que vous seul qui ne le soyez pas. I, 3, 35.1) Enfin le quatriesme jour, ces bonnes gens avec leur niepce furent pour faire un dernier effort: et s'estans mis à genoux à l'entour d'elle, fondans en larmes, et luy offrant toutes choses; la conjurerent d'avoir pitié d'elle, et d'eux aussi. II, 94, 2. 2. Das Part. Praes. anderer Verben ist bei weiblichem Beziehungsworte niemals verändert, bei männlichem hingegen tritt nicht selten Veränderlichkeit ein.

Ceux-là nous asseurerent.. et nous dirent . . ., que la pluspart d'entre eux s'estoient retirez jusques sous l'Ourse, jugeans que vous n'iriez pas là. I, 319, 15.2) Sans mentir, je juge bien plus avantageusement de vous sur vos escris, que sur ceux de Groenovius, et de Jacobus Balde, que je trouve, au reste, fort beaux, et representans bien le caractere de la meilleure antiquité. I, 389, 16. C'est un feu passager qui se tourne en fumée, Pareil à ces brandons qui bruslent

1) Ubicini I, 23, 9: étant satisfaits.
2) Ubicini I, 404, 5: jugeant.

une nuit, Errans à la faveur du vent qui les conduit, Qui luisent pour nous perdre. I, 507, 22. Ceux-là sont pardonnables, qui voulans décrire en un petit espace toute la rondeur de la Terre: nous designent une grande et grosse Ville par un point. II, 35, 4. Enfin le quatriesme jour, ces bonnes gens avec leur niepce furent pour faire un dernier effort: et s'estans mis à genoux à l'entour d'elle, fondans en larmes, et luy offrant toutes choses; la conjurerent d'avoir pitie d'elle, et d'eux aussi. II, 94, 2. Il communiqua son dessein à celuy qui l'avoit tousjours accompagné: qui se déguisant en Marchand fut trouver ceux qui gouvernoient cette troupe de gens: qui voyans en Alcidalis toutes les qualitez qu'ils cherchoient, mirent bien-tost à pris une personne qui n'en avoit point. II, 110, 31. Ainsi ces deux Amans, ne se doutans point de la trahison, qu'on leur tramoit, estoient dans une profonde tranquilité. II, 86, 1. Cependant le Capitaine et sa femme après avoir reçeu de grands presens, prirent congé du Duc, et se mirent en Mer; s'excusans sur ce qu'ils disoient, qu'ils se vouloient haster, pour aller donner à la Reyne les nouvelles de l'heureux voyage de la Duchesse. II, 99, 16. Ferner I, 624, 8; II, 65, 18; II, 110, 15; II, 127, 7; II, 128, 26; II, 128, 27.

F. Participium Perfecti.

Auch hier gingen die Ansichten der Grammatiker des 16. und 17. Jh. in der Frage, ob das Part. verändert werden solle oder nicht, ziemlich weit auseinander. 1)

Schon der Dichter Marot will in einem an seine Schüler gerichteten Epigramme 2), dass das mit avoir construirte Part. Perf. mit dem vorhergehenden Accusativobjecte übereinstimme. Dieser Ansicht traten alsdann die Grammatiker Ramus (Observat. de Ménage S. 41) und Palsgrave (S. 137) bei, während Meigret (Livet, La grammaire ... au XVIe siècle S. 84) diese Regel verwarf. Ferner verlangte Palsgrave (S. 124 ff.), dass das mit être verbundene Part. Perf. mit seinem Subjecte übereinstimmen müsse. Eingehender behandelte Vaugelas (II, 21) die Frage; er beabsichtigte durch die Aufstellung der folg. zehn Beispiele, die seine Ansicht enthielten, dem Schwanken ein Ende zu machen:

1) Im früheren Sprachgebrauche herrschte die grösste Willkür. So war das mit avoir zusammengesetzte Part. Perf., wenn ihm das Accusativsobject vorausging, bald veränderlich, bald nicht (Stimming, François Villon in Herrig's Archiv, Bd. 48 S. 288; Glauning, Versuch über die syntakt. Archaismen bei Montaigne in Herrig's Archiv, Bd. 49. S. 344); öfters richtete sich das Part. dem modernen Gebrauche zuwider nach dem ihm folgenden Accusativ

objecte (Mätzner, Gram. S. 435 u. a.).

2) Das Epigramm steht in der Ausg. v. Marot vom J. 1700 (La Haye, Adrian Moetjens, 2 Bde. mit durchgehender Seitenzahl) S. 346.

« AnteriorContinua »