Revue des deux mondes, Volum 2;Volum 101Au bureau de la Revue des deux mondes., 1854 |
Altres edicions - Mostra-ho tot
Frases i termes més freqüents
anglais Antoine armée Arméniens assez aujourd'hui autrichien avaient Bagratides Barbaja Barfleur Beyle Bridoux Buol c'était Carentan cause chant chose cœur colonel comte Constantinople côté coup devant Dieu dire donner doute duc d'Albe duc de Vicence enfans Espagnols esprit européenne eût événemens force Gazza ladra génie gouslo gouvernement Grecs guerre Guillaume Hélène hommes Ingres j'ai jamais jeune fille jour l'Allemagne l'Angleterre l'Autriche l'église l'empereur Nicolas l'empire ottoman l'esprit l'Europe l'histoire laisser lord Castlereagh lord Liverpool MADEMOISELLE DE KERDIC main Marnix ment Metternich Mme de Longueville Mme de Sablé monde Monique monsieur musique n'avait n'était Napoléon nation œuvre ottoman paix passé passions Pays-Bas pensée père peuple poésie politique porte pouvait premier prince Prusse Puelches puissances qu'un question race Ranke religieux reste révolution rien Rossini Russie s'est s'était saint Saint-Pétersbourg Savonarole semble sentiment serait serbes seul siècle sion slaves sorte tion traité trouve Turquie vérité Vienne Villemain voix yeux
Passatges populars
Pàgina 33 - Sa pensée n'osa aller plus loin. — < Madame, il se porte bien de sa blessure. — II ya eu un combat... Et mon fils ? » On ne lui répondit rien. « Ah ! Mademoiselle, mon fils, mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort ? — Madame, je n'ai point de parole pour vous répondre.
Pàgina 426 - ... comme des éclairs, et si sages qu'elles n'eussent pas été désavouées par les plus grands hommes de tous les siècles. Ce mérite toutefois ne fut que d'occasion. Si elle fût venue dans un siècle où il n'y eût point eu d'affaire , elle n'eût pas seulement imaginé qu'il y en pût avoir.
Pàgina 482 - ... que ladite inquisition soit maintenue ou reçue sous quelque couleur que ce puisse être. Nous promettons et jurons d'entretenir cette alliance saintement et inviolablement à toujours, tant que nous vivrons ; nous en prenons Dieu à témoin, sur le salut de nos âmes ; nous nous promettons réciproquement toute assistance de corps et de biens, comme frères et fidèles compagnons, tenant la main l'un à l'autre. Et, si quelqu'un de nos confrères était recherché par ladite inquisition, ou...
Pàgina 719 - Apoloyie que le prince d'Orange avait opposée aux poignards de Philippe II : « Tant qu'il plaira à Dieu me donner une goutte de sang, un seul denier de mes biens, un peu de sens, industrie, crédit et autorité, je l'emploierai, je le dédierai, je le sacrifierai à votre service Voilà ma tête, disposez-en pour votre bien, salut et conservation de votre république. » A ces mots, on avait entendu Marnix s'écrier hors de lui : Le prince est mort! Sa prophétie venait de s'accomplir. Le roi...
Pàgina 16 - ... des motifs qui font agir les hommes, qu'il me paroist que son approbation est le caractère de la justice de cette cause. Après la paix de l'Église, je n'ai rien tant souhaité que la déclaration publique de M.
Pàgina 474 - ... l'exécuteur de mes intentions, sans que ni le péril que je puis courir, ni la ruine de ces provinces , ni celle des autres états qui me restent, puissent m'empêcher d'accomplir ce qu'un prince chrétien et craignant Dieu est tenu de faire pour son saint service et le maintien de la foi catholique...
Pàgina 29 - M. de Longueville avoit le visage assez beau , une belle tête , de beaux cheveux , une vilaine taille, et l'air peu noble. Les gens qui le connoissoient particulièrement disent qu'il avoit beaucoup d'esprit; il parloit peu ; il avoit l'air de mépriser : ce qui ne le faisoit pas aimer. Il étoit fort...
Pàgina 33 - Ah! mademoiselle, mon fils, mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort ? Madame, je n'ai point de paroles pour vous répondre. — Ah ! mon cher fils! est-il mort sur-lechamp? n'at-il pas eu un seul moment? Ah mon Dieu! quel sacrifice...
Pàgina 869 - Prusse se sont réunis en conférence pour entendre la communication que M. le plénipotentiaire autrichien a bien voulu leur...
Pàgina 587 - Plessis, devant une quarantaine de jeunes gens et quelques paisibles amateurs, avait fait sa rentrée dans le monde la philosophie du spiritualisme et du devoir, fondée sur l'activité spontanée de l'âme, sa conformité à la vérité et à la justice divine et sa puissance interne de les comprendre et d'y satisfaire.