L'ombre croissait, et déjà, dans le crépuscule, mes regards ne distinguaient plus que les fantômes blanchâtres des colonnes et des murs .... Ces lieux solitaires, cette soirée paisible, cette scène majestueuse, imprimèrent à mon esprit un recueillement... the queens university calander - Pàgina 639per alexander thom - 1875Visualització completa - Sobre aquest llibre
| 1818 - 660 pàgines
...déjà, dans le crépuscule, mes re» gards ne distinguaient plus que les fantômes.blanchâtres » des colonnes et des murs.... Ces lieux solitaires,...grande cité déserte, la mémoire des temps passés, là » comparaison de l'état présent, tout éleva mon cœur à » de hautes pensées. Je m'assis... | |
| 1818 - 664 pàgines
...de nuit et de quelques chacals. « L'ombre croissait, et déjà, dans le crépuscule, mes IT» gards ne distinguaient plus que les fantômes blanchâtres...soirée paisible, cette scène majestueuse, imprimèrent k » mon esprit un recueillement religieux. L'aspect d'une » grande cîté déserte , la mémoire... | |
| Louis-Philippe de Ségur - 1820 - 386 pàgines
...longs intervalles , Von entendait les lugubres cris de quelques oiseaux de nuit et de quelques chacals. L'ombre croissait, et déjà dans le crépuscule mes...comparaison de l'état présent , tout éleva mon coeur à de hautes pensées ;je m'assis sur le tronc d'une colonne, et là, le coude appuyé sur le... | |
| Constantin-François Volney - 1821 - 508 pàgines
...intervalles on entendait les lugubres cris de quelques oiseaux de nuit et de quelques chacals — *. L'ombre croissait, et déjà dans le crépuscule mes...temps passés , la comparaison de l'état présent , fout éleva mon cœur à de hautes pensées. Je m'assis sur le trônc'd'une colonne ; et là, le... | |
| 1821 - 434 pàgines
...intervalles, l'on entendait les lugubres cris de quelques oiseaux de nuit et de quelques Chakals. . . L'ombre croissait, et déjà, dans le crépuscule,...distinguaient plus que les fantômes blanchâtres desjcolonnes et des murs .. Ces lieux solitaires, cette soirée. paisible, cette scène majestueuse,... | |
| Constantin-François Volney - 1822 - 424 pàgines
...et des murs.... Ces lieux solitaires, ce! soirée paisible, cette scène majestueuse, iiupi mèrent à mon esprit un recueillement religieux L'aspect d'une grande cité déserte, la mémoire ift temps passés , la comparaison de l'état préseul tont éleva mon cœur à de hantes pensées.... | |
| Louis-Philippe de Ségur - 1826 - 408 pàgines
...intervalles, on entendait les lugubres cris de quelques oiseaux de nuit et de quelques chacals, ii* ombre croissait, et déjà dans le crépuscule mes regards...comparaison de l'état présent , tout éleva mon cœur d de hautes pensées; je m'assis sur le tronc d'une colonne, et là, le coude appuyé sur le genou,... | |
| Constantin-François Volney - 1830 - 376 pàgines
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| 1834 - 632 pàgines
...intervalles, l'on entendait les lugubres cris de quelques oiseaux de nuit et de quelques chacal». L'ombre croissait, et déjà, dans le crépuscule,...m'assis sur le tronc d'une colonne ; et là, le coude apputé sur le genou, la tête soutenue sur la main, tantôt portant mes regards sur le désert, tantôt... | |
| Comte Constantin François de Chasseboeuf de Volney - 1837 - 324 pàgines
...nuit et de quelques cliat;nlti...(l} L'ombre croissait, et déjà dans le crépuscule mes regards lie distinguaient plus que les fantômes blanchâtres...cette soirée paisible , cette scène majestueuse, (1) E»pèce cie renard qui ne vague qu« pendant 1* nuii. imprimèrent à mon esprit un recueillement... | |
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