| Louis Pierre Anquetil - 1771 - 354 pàgines
...Marguerite , fe jette dejfus mon lit. Moi f fentant cet homme qui me tenait , je me jette à la ruelle j & lui après moi , me tenant toujours à travers du corps. Je ne cognoijfois point cet homme , & ne fiivois s'il venvit là- pour m'offenfer ^ ou Ji les archers en... | |
| 1776 - 380 pàgines
...fentant ces> «hommes qui me ténoient, je nw » jette ANN È E 1776. 337 w jette à la ruelle , & lui après moi , » me tenant -toujours à travers du » corps. Je ne connoiffois point» cet » -homme, & ne fçavois s'il venoit ' » ià pour m'offenfer , ou Ci les Archers... | |
| Louis-Pierre Anquetil - 1818 - 534 pàgines
...travers du corps. Je ne cognoissois point « cet homme, et ne savois s'il venoit là pour m'of« fenser , ou si les archers en vouloient à lui ou à «moi. Nous criions tous deux, et étions aussi efK frayés l'un que l'autre. » Enfin , le capitaine des gardes... | |
| Louis-Pierre Anquetil - 1819 - 526 pàgines
...homme qui me tenoit, «je me jette à la ruelle, et lui après moi, me tenant « toujours à travers de corps. Je ne connoissois point « cet homme, et ne savois s'il venoit là pour m'offen« ser, ou si les archers en vouloient à lui ou à moi. Nous « criions tous deux, et étions... | |
| Louis-Pierre Anquetil - 1819 - 526 pàgines
...travers de corps. Je ne connoissois point « cet homme , et ne savois s'il venoit là pour m'offen« ser, ou si les archers en vouloient à lui ou à moi. Nous « criions tous deux , et étions aussi effrayes l'un que «l'autre. » Enfin, le capitaine des gardes... | |
| 1823 - 548 pàgines
...sentant ces hommes qui me tenoient, je me jette à la ruelle, et luy après moy , me tenant tousjours à travers du corps. Je ne connoissois point cet homme, et ne scavois s'il venoit là pour m'offenser , ou si les archers en vouloient à luy ou à moy. Nous crions... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1823 - 550 pàgines
...sentant ces hommes qui me tenoient, je me jette à la ruelle, et luy après moy , me tenant tousjours à travers du corps. Je ne connoissois point cet homme, et ne sçavois s'il venoit là pour m'offenser , ou si les archers en vouloient à luy ou à moy. Nous crions... | |
| Jacques-Benjamin Saint-Victor - 1830 - 690 pàgines
...garantir se jeta dans mon lit. Moi , sentant ces hommes qui me * tenoient , je me jette à la ruelle , et lui après moi , me tenant » toujours à travers du corps. Je ne connoissois point cet homme< quer de se livrer un peuple depuis long-temps animé d'une haine implacable contre les huguenots ,... | |
| Henriette Amey - 1830 - 528 pàgines
...garantir, se « jette dessus mon lit; moi, sentant cet homme qui me « tient, je me jette à la ruelle et lui après moi, me tenant « toujours à travers du corps. Je ne savois si les archers en « vouloient à lui ou à moi; car nous criions tous deux, et « étions aussi... | |
| Capefigue (M., Jean Baptiste Honoré Raymond) - 1834 - 418 pàgines
...après moy , me tenant toujours à travers du corps. Je ne cognoissois point cet homme, et ne sçavois s'il venoit là pour m'offenser , ou si les archers en vouloient à luy ou à moy. Nous criions tous deux, et étions aussi effrayé ' BBAHTÔME. M. de Tavannes , t, ix... | |
| |