| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1823 - 558 pàgines
...Reyne ma mere répond que, s'il plaisoit à Dieu, je n'aurois point de mal ; mais quoy que ce fut , il falloit que j'allasse, de peur de leur faire soupçonner...chose.... Je voyois bien qu'ils se contestoient, et n'entendois pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse coucher. Ma sœur... | |
| 1823 - 548 pàgines
...La Reyne ma mere répond que, s'il plaisoit à Dieu, je n'aurois point de mal; mais quoy que ce fut, il falloit que j'allasse, de peur de leur faire soupçonner...chose.... Je voyois bien qu'ils se contestoient, et n'entendois pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse coucher. Ma sœur... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1823 - 550 pàgines
...La Reyne ma mere répond que, s'il plaisoit à Dieu, je n'aurois point de mal; mais quoy que ce fut, il falloit que j'allasse, de peur de leur faire soupçonner quelque chose.... 9 Je voyois bien qu'ils se contestoient , et n'entendois pas leurs paroles. Elle me commanda encore... | |
| John Lingard - 1826 - 156 pàgines
...que, s'il plaisoit à dieu, je n'anmis point de mal: mais quoy que ce fut, il falloit que j'allase, de peur de leur faire soupçonner quelque chose. Je voyois bien qu'ils se contestoient» et n'entendoient (n'entendois) pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en alasse... | |
| comte Pierre Louis Roederer - 1830 - 500 pàgines
...mère répond : Que s'il plaisait à Dieu , je n'aurais point de mal ; mais quoique ce fust, il fallait que j'allasse, de peur de leur faire soupçonner quelque chose. » Je voyois bien qu'ils se contestaient et n'entendois pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse... | |
| Pierre-Louis Roederer - 1830 - 520 pàgines
...plaisait à Dieu , je n'aurais point de mal ; mais que quoique ce fût, il fallait que j' allasse , de peur de leur faire soupçonner quelque chose... • Je voyois bien qu'ils se contestaient, et n'entendois pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1835 - 582 pàgines
...moi. La reine ma mère répond , que s'il « plaisoit à Dieu , je n'aurois point de mal , mais « quoi que ce fût , il falloit que j'allasse , de peur...soupçonner quelque chose. Je « voyois bien qu'ils se coûtes toient , et n'enten« dois pas leurs paroles ; elle me commanda en« core rudement que je m'en... | |
| Joseph Fr. Michaud - 1838 - 634 pàgines
...Reyne mère répond que , s'il plaisoit à Dieu , je n'aurois point de mal ; mais quoy que ce fut, il falloit que j'allasse , de peur de leur faire soupçonner...chose.... Je voyois bien qu'ils se contestoient , et n'entendois par leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse coucher. Ma sœur... | |
| Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - 1838 - 630 pàgines
...s'il plaisoit à Dieu , je n'aurois point de mal ; mais quoy que ce fut, il falloit quej'allasse , de peur de leur faire soupçonner quelque chose.... Je voyois bien qu'ils se contcstoient , et n'entendois par leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse... | |
| Margarete (Frankreich, Königin), François Guessard - 1842 - 526 pàgines
...La Royne ma mererespond, que s'il plaisoit à Dieu, je n'aurois point de mal; mais quoy que ce fust, il falloit que j'allasse, de peur de leur faire soupçonner quelque chose qui empeschast l'efïect. Je voyois bien qu'ils se contestoient et n'entendois pas leurs paroles. Elle... | |
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