| 1785 - 488 pàgines
...ou pour craindre. Il avoit l'humeur brusque , et quelquefois rude en apparence ; au fonds, il étoit très- aisé à vivre, bon père , bon mari , bon parent , tendre et plein d'amitié. Son tempérament le portoit assez à l'amour ; mais jamais au libertinage , et rarement aux grands... | |
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1790 - 576 pàgines
...et , pour trouver le grand Corneille , il le falloir lire. Il étoit mélancolique. Il lui falloit des sujets plus solides pour espérer ou pour se réjouir , que pour se chagriner ou pour craindre. Il avoit l'humeur brusque, et quelquefois rude en apparence ; au fond , il étoit très-aisé à vivre... | |
| Pierre Corneille - 1797 - 430 pàgines
...craindre. Il avoit l'huiheur brusque , et quelquefois rude en apparence; au fond il étoit très-aisé à vivre , bon père, bon mari, bon parent, tendre et plein d'amitié. Son, tempérament le portoit assez à l'amour, mais jamais au libertinage, et raijypent aux grands... | |
| Des Essarts - 1800 - 496 pàgines
...parfaitement. Il n'ornait pas ce qu'il disait ; et pour trouver le grand Corneille , il fallait le lire. Il était mélancolique. Il lui fallait des sujets plus...l'humeur brusque , et quelquefois rude en apparence ; au fonds , il était trèsaisé à' vivre : bon père, boa mari, bon parent, tendre et plein d'amitié.... | |
| Pierre Jean-Baptiste Chaussard - 1806 - 530 pàgines
...défigure ses plus belles tirades. Il est mélancolique ; il )ui faut des sujets plus solides pour opérer ou pour se réjouir, que pour se chagriner ou pour craindre. Il a l'humeur brusque, et quelquefois rude en apparence. Au fond , il est très -aisé àvivre : bon père,... | |
| 1798 - 450 pàgines
...pour » trouver le grand Corneille , il le falloit lire. Il étoit » mélancolique ; il lui falloit des sujets plus solides pour » espérer ou pour se...réjouir , que pour se chagriner ou » pour craindre. ll avoit l'humeur brusque et quelque» fois rude en apparence ; au fond , il étoit très-aisé à... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 620 pàgines
...disoit, et pour trouver le grand Corneille, il fulloit le lire. 11 doit mélancolique ; il lui falloit des sujets plus solides pour espérer ou pour se réjouir, que pour se chagriner ou pour craindre. Il avoit l'humeur brusque, et quelquefois rude en apparence ; au fond , il étoit trèsaisé à vivre;... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 604 pàgines
...el pour trouver le grand Corneille, il falloitle lire. Il éloit mélancolique ; il lui falloitdes sujets plus solides pour espérer ou pour se réjouir, que pour se chagriner ou pour craindre. Il avoil 1 humeur brusque, et quelquefois rude en apparence ; au fond , il étoit trèsaisé à vivre;... | |
| Philippe Jacques Étienne Vincent Guilbert - 1812 - 574 pàgines
...Il n'ornail pas ce qu'il disait, et pour » trouver le GRAND CORNEILLE , il fallait le » lire. Il était mélancolique ; il lui fallait des » sujets...pour se' » réjouir que pour se chagriner ou pour crain» Are. Il avait l'humeur brusque et quelque» fois rude en apparence ; au fond il était très»... | |
| Etienne Bonnot de Condillac - 1812 - 330 pàgines
...<torqu'on ne sousentend que les mots qui ont déjà 'été employés. « Corneille étoit très-aisé à vivre , bon père , bon mari , bon parent, tendre et plein d'amitié. Il avoit l'ame fière et indépendante, nulle souplesse, nul manège; ce qui l'a rendu trèspropre à... | |
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