 | 1805 - 402 pàgines
...les vérités les plus effrayantes de ma » religion. Qu'ai-je fait, malheureux! j'ai con» tristé les pauvres, les meilleurs amis de mon » Dieu; j'ai...l'épouvante et la douleur dans » ces ames simples et fidelles , que j'aurois dû plain» 'dre et consoler. C'est ici où mes regards ne tom» bent que sur... | |
 | Jean François Michel Noël - 1808 - 624 pàgines
...campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion. Qu'ai-je fait ? malheureux ! J'ai contristé les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu ; j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples et fidèles que j'aurais dû plaindre et consoler. C'est ici où nies regards ne tombent... | |
 | Chapsal (M., Charles Pierre) - 1809 - 598 pàgines
...campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion. Qu'ai-je fait , malheureux ! j'ai centristé les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu ; j'ai...la douleur dans ces ames simples et fidèles , que j'aurais dû plaindre et consoler. C'est ici où mes regards ne tombent que sur des grands, sur des... | |
 | 1810 - 686 pàgines
...des campagnes les vérité» les plus effrayantes de la religion. Qu'ai -je fait, malheureux? J'ai centriste les pauvres , les meilleurs amis de mon Dieu : j'ai porté l'épouvante et la douleur dan* des nmes simples et lidele» , que j'uurois dû plaindra et consoler. C'est ici , où mes regards... | |
 | Jean-François de La Harpe - 1813 - 458 pàgines
...Dieu ; j'ai porté l'épou» vante et la douleur dans ces ames simples et » fidelles que j'aurais dû plaindre et consoler. » C'est ici où mes regards ne tombent que sin' » des grands, sur des riches, sur des oppresseurs » de l'humanité souffrante, ou des pécheurs... | |
 | Jean Pons Victor Lacoutz de Lévizac, François Moysant - 1814 - 534 pàgines
...des campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion. )) Qu'ai-je fait, malheureux ! j'ai centriste les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu...; j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples et fidèles , quej'aurois dû plaindre et consoler. C'est ici , où mes regards ne tombent... | |
 | 1816 - 432 pàgines
...campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion. Qu'aije fait, malheureux! j'ai contristé les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu; j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes .'impies et fidèles, que j'aurois dû plaindre et con^ soler. C'est ici où mes regards ne tombent... | |
 | Jean François Marmontel - 1818 - 654 pàgines
...campagnes, les vérités les plus effrayantes de ma retigion. Qu'ai -je fait , malheureux ! J'ai centristé les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu; j'ai...la douleur dans ces ames simples et fidèles , que j'aurais dû plaindre et consoler. C'est ici, où mes regards ne tombent que sur des grands, sur des... | |
 | Tome Douzieme - 1819 - 518 pàgines
...effrayantes de ma religion. Qu'ai-je fait , malheureux ! J'ai centristé les pauvres , les meilleuis amis de mon Dieu ; j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples et fidèles que j'aurais dû plaindre et consoler. C'est ici , où mes regards ne tombent... | |
 | Jean François de La Harpe - 1822 - 528 pàgines
...les vérités les plus ef« frayantes de ma religion. Qu'ai-je fait? malheu« reux! j'ai centristé les pauvres, les meilleurs « amis de mon Dieu; j'ai...la «'douleur dans ces ames simples et fidèles que « j'aurais dû plaindre et consoler. C'est ici, où mes « regards ne- tombent que sur des grands... | |
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... j'ai centriste les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu ; j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples et fidèles, que j'aurais dû plaindre et consoler. 
