Histoire de la révolution française, Volum 3Furne, 1854 |
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10 août accusation acte adversaires allait applaudissements armées assemblées assignats Autrichiens avaient Barbaroux Barère Belgique Beurnonville Billaud-Varennes Brissot Buzot c'était cause cent citoyens Clerfayt Cléry comité commissaires commune conseil exécutif conspirateurs Constitution Convention nationale côté crimes Cuesmes Custine d'Orléans Danton Décembre déclare décret défense défenseurs demande députés désordre devait discussion dit-il Dumouriez Edgeworth enfin ennemis esprits eût excité fédérés Février force Garat général Gensonné girondins gouvernement Guadet guerre Hollande jacobins Janvier Jemmapes jour jugement l'appel au peuple l'armée l'Assemblée l'ennemi l'inviolabilité laisser législation liberté Louis XVI Louvet maire Marat membres ment Meuse mille hommes ministre montagnards mort moyens municipaux n'avait n'était nation Novembre Octobre Pache parole patriotes Pétion Pitt porte pouvait procès projet prononcer propose Prussiens question reproche république révolution révolutionnaire Rhin Robespierre Roland royauté s'était salle Santerre séance sections Septembre 1792 serait seul société sur-le-champ Temple tion Trèves tribunal tribune troupes tyran Vergniaud violente voix vote voulait
Passatges populars
Pàgina 236 - Que ces mêmes hommes qui proclament partout qu'une nouvelle révolution est nécessaire, qui font déclarer telle ou telle section en état d'insurrection permanente; qui disent à la Commune que lorsque la Convention a succédé à Louis, on n'a fait que changer de...
Pàgina 235 - Craignez qu'au milieu de ses triomphes la France ne ressemble à ces monuments fameux qui, dans l'Egypte, ont vaincu le temps. L'étranger qui passe s'étonne de leur grandeur ; s'il veut y pénétrer, qu'y trouve-t-il? Des cendres inanimées, et le silence des tombeaux.
Pàgina 217 - Je m'arrête devant l'histoire ; songez qu'elle jugera votre jugement, et que le sien sera celui des siècles.
Pàgina 171 - Citoyens , si le peuple romain , après six cents ans de vertu et de haine contre les rois; si la Grande-Bretagne , après Cromwell mort, vit renaître les rois malgré son énergie , que ne doivent pas craindre parmi nous les bons 'citoyens , amis de la liberté , en voyant la hache trembler dans nos mains , et un peuple, dès le premier jour de sa liberté, respecter le souvenir de ses fers ! Quelle république voulez-vous établir au milieu de nos combats particuliers et de nos faiblesses communes?
Pàgina 217 - Le peuple désirait la destruction d'un impôt désastreux qui pesait sur lui : il le détruisit ; le peuple demandait l'abolition de la servitude : il commença par l'abolir lui-même dans ses domaines ; le peuple sollicitait des réformes dans la législation criminelle pour l'adoucissement du sort des accusés : il fit ces réformes; le peuple voulait que des milliers de...
Pàgina 310 - Ils saisissent avidement cette phrase, puis ils se hâtent d'envoyer des émissaires parmi les femmes attroupées devant les boutiques des boulangers pour les pousser à enlever, à prix coûtant, du savon, des chandelles et du sucre, de la boutique des épiciers détaillistes, tandis que ces émissaires pillent eux-mêmes les boutiques des pauvres épiciers patriotes. Puis ces scélérats gardent le silence tout le jour; ils se concertent la nuit dans un conciliabule nocturne, tenu rue de...
Pàgina 217 - Louis était monté sur le trône à vingt ans; et à vingt ans, il donna sur le trône l'exemple des mœurs; il n'y porta aucune faiblesse coupable, ni aucune passion corruptrice; il y fut économe, juste, sévère; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple.
Pàgina 237 - ... si nécessaire ? Un chef ! Ah ! si telle était leur audace, il ne paraîtrait que pour être à l'instant percé de mille coups. Mais à quelles horreurs ne serait pas livré Paris ? Paris dont la postérité admirera le courage héroïque contre les rois...
Pàgina 310 - ... dans une simple déclaration , le pillage de quelques magasins, à la porte desquels on pendrait les accapareurs , mettrait bientôt fin à leurs malversations.
Pàgina 100 - La sensibilité qui gémit presque exclusivement pour les ennemis de la liberté m'est suspecte. Cessez d'agiter sous mes yeux la robe sanglante du tyran, ou je croirai que vous voulez remettre Rome dans les fers.